jeudi 29 mars 2007

Les coliques néphrétiques sont des symptômes bénins !

Malgré les douleurs associées aux coliques néphrétiques, si les symptômes sont traités à temps, et même si elles sont cycliques n'en constituent pas pour autant une maladie grave. Bien sûr, il ne faut pas que cela se transforme en insuffisance rénale.

Les conséquences des calculs

Une fois bloquées, les urines s'accumulent dans les reins et les distendent. Cela déclenche une douleur brutale et très forte dans la région lombaire, d'un seul côté.

Une colique néphrétique est une affection très douloureuse. Elle est d'ailleurs surnommée "colique frénétique" car les patients se tordent dans tous les sens, à la recherche d'une position qui les soulage.

Cette douleur se propage souvent vers les organes génitaux. Elle est continue et s'intensifie sous forme de pics. Il y a parfois des brûlures en urinant ou des besoins très pressants. Et les urines peuvent contenir du sang.

Le diagnostic

Lorsque la crise survient, un médecin doit examiner l'abdomen et les organes génitaux du patient. Des examens sont réalisés afin de poser le diagnostic : la recherche de sang et de bactéries dans les urines, une radiographie de l'abdomen et une échographie des reins et du pelvis (le bas-ventre).

Dans mon cas et malgré l'aversion pour la clinique, 'hospitalisation devenait nécessaire car il y avait bien une dilatation du rein : comme un tuyau d'arrosage dont on bouche l'extrémité et qui gonfle.

Traitement et prévention

On donne classiquement des antalgiques, des anti-inflammatoires et des antispasmodiques pour lutter contre la douleur, l'inflammation et les spasmes. Mais lorsque cela ne suffit pas, il faut opérer.

Une fois la crise passée, il faut vérifier l'état des reins grâce à un examen spécifique : une urographie intraveineuse.

Du côté de la prévention, pour éviter la formation de calculs, il est conseillé de boire beaucoup, entre deux et trois litres par jour.






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