vendredi 9 décembre 2005

Vitesse et distance













Il s'agit de la vitesse de la tête d'un driver et de la distance parcourue par la balle en vol.

Source : Frédéric Lecomte

Vitesse et distance













Il s'agit de la vitesse de la tête d'un driver et de la distance parcourue par la balle en vol.

Source : Frédéric Lecomte

lundi 5 décembre 2005

Blog annoncé sur le forum FFGolf et remerciements


Annoncé aujourd'hui pour fêter mes 3 ans de présence sur le forum !
Je voudrais donc remercier tous les forumistes, tous les photographes dont MP3 qui a un excellent site http://pbase.com/isogood où on peut aller voir ses photos prises dans le monde entier et dans lequel j'ai puisé...
Merci à Zebulon alias TGM qui ne cesse de m'aider à m'imprégner de sa méthode "Le pendule" par site interposé, par mail et qui vient de publier son blog sur http://www.sur-la-planete-zebulon.net/
Merci à vous tous que je croise depuis 3 ans en vrai ou par clavier interposé.

Blog annoncé sur le forum FFGolf et remerciements


Annoncé aujourd'hui pour fêter mes 3 ans de présence sur le forum !
Je voudrais donc remercier tous les forumistes, tous les photographes dont MP3 qui a un excellent site http://pbase.com/isogood où on peut aller voir ses photos prises dans le monde entier et dans lequel j'ai puisé...
Merci à Zebulon alias TGM qui ne cesse de m'aider à m'imprégner de sa méthode "Le pendule" par site interposé, par mail et qui vient de publier son blog sur http://www.sur-la-planete-zebulon.net/
Merci à vous tous que je croise depuis 3 ans en vrai ou par clavier interposé.

mercredi 30 novembre 2005

L'impact et la compression


Cet après-midi, entraînement avec Fred : le constat est clair, aucune puissance à l'impact, peu de divot et pas de compression de balle.
Il faut que je place ma balle plus vers le pied droit, que j'incline légèrement le shaft à l'adresse, que je me redresse pour que le club repose à plat sur le sol, quitte à gripper un peu plus bas. Je dois aussi moins armer et partir plus en ligne droite d'un bloc - surtout au driver.
Essayer de limiter la montée à 3/4 et à l'impact, avoir une image nette de ce qu'il faut produire : bras tendus, peu d'action des mains, et shaft dans le porlongement des mains (pas d'angle mains / shaft). Et surtout pincer la balle dans un mouvement descendant.
Les conséquences sont évidentes : trajectoire pénétrante, tendue, haute et qui s'arrête plus vite. Bref, beaucoup mieux ! Merci Fred.

L'impact et la compression


Cet après-midi, entraînement avec Fred : le constat est clair, aucune puissance à l'impact, peu de divot et pas de compression de balle.
Il faut que je place ma balle plus vers le pied droit, que j'incline légèrement le shaft à l'adresse, que je me redresse pour que le club repose à plat sur le sol, quitte à gripper un peu plus bas. Je dois aussi moins armer et partir plus en ligne droite d'un bloc - surtout au driver.
Essayer de limiter la montée à 3/4 et à l'impact, avoir une image nette de ce qu'il faut produire : bras tendus, peu d'action des mains, et shaft dans le porlongement des mains (pas d'angle mains / shaft). Et surtout pincer la balle dans un mouvement descendant.
Les conséquences sont évidentes : trajectoire pénétrante, tendue, haute et qui s'arrête plus vite. Bref, beaucoup mieux ! Merci Fred.

dimanche 27 novembre 2005

Début entraînement hivernal



Deux fers, le 6 et le 9 de la série Cleveland TA1 : un régal au toucher mais peu tolérants. Des outils superbes pour travailler le contact et le divot. Difficile au début, je travaile sur le rythme : juste penser à laisser travailler le club qui avec son shaft acier est suffisamment lourd pour ne rien ajouter. Penser à la rotation "tourne, tape et tourne"et faire un backswing moins vertical. Les balles partent bien mieux sur la fin. Ce fut un très bon entraînement. Je me suis fait vraiment plaisir malgré le mauvais temps (froid et humide)

Début entraînement hivernal



Deux fers, le 6 et le 9 de la série Cleveland TA1 : un régal au toucher mais peu tolérants. Des outils superbes pour travailler le contact et le divot. Difficile au début, je travaile sur le rythme : juste penser à laisser travailler le club qui avec son shaft acier est suffisamment lourd pour ne rien ajouter. Penser à la rotation "tourne, tape et tourne"et faire un backswing moins vertical. Les balles partent bien mieux sur la fin. Ce fut un très bon entraînement. Je me suis fait vraiment plaisir malgré le mauvais temps (froid et humide)

samedi 26 novembre 2005

Séance fitting



Rendez-vous avec Gilles Marcel à 14h par un temps très froid (4°C) et venteux et humide.
Les tests sont formels : quel que soit le shaft utilisé, que ce soit de l'acier stiff ou du graphite lady, j'ai la même vitesse de swing, entre 69 et 71 mph, ce qui est faible mais bizarre, car je ne vais pas plus vite avec un club léger. Par contre, point positif, les impacts sont presque tous centrés. S'il y a des erreurs sur les fers, c'est vers le hosel.
Avec le driver, la vitesse est de 88 mph, Gilles le trouve un peu souple mais je m'y fais bien si je ne me précipite pas.
Ce qui est notable, c'est que quand on force un peu, la vitesse chute...à méditer !
Il me faut un grip légèrement plus fin, raccourcir légèrement les shafts et vérifier où je peux gagner de la vitesse !
Les trajectoires avec les shafts acier sont droites et Gilles préconiserait du TX 90.
http://magigolf.chez-alice.fr/fitting.htm

Séance fitting



Rendez-vous avec Gilles Marcel à 14h par un temps très froid (4°C) et venteux et humide.
Les tests sont formels : quel que soit le shaft utilisé, que ce soit de l'acier stiff ou du graphite lady, j'ai la même vitesse de swing, entre 69 et 71 mph, ce qui est faible mais bizarre, car je ne vais pas plus vite avec un club léger. Par contre, point positif, les impacts sont presque tous centrés. S'il y a des erreurs sur les fers, c'est vers le hosel.
Avec le driver, la vitesse est de 88 mph, Gilles le trouve un peu souple mais je m'y fais bien si je ne me précipite pas.
Ce qui est notable, c'est que quand on force un peu, la vitesse chute...à méditer !
Il me faut un grip légèrement plus fin, raccourcir légèrement les shafts et vérifier où je peux gagner de la vitesse !
Les trajectoires avec les shafts acier sont droites et Gilles préconiserait du TX 90.
http://magigolf.chez-alice.fr/fitting.htm

mardi 15 novembre 2005

Emotion, muscle et respiration


C'est en visionnant Christophe Pinna, le coach sportif (et 4 fois champion du monde de karaté en passant) de la Star Academy V que je me suis aperçu du rôle de ces trois clefs fondamentales dans la performance. Appliquées au golf elles forment un tout indissociable :
- le corps a été programmé pour exécuter une tâche bien précise : driver loin, faire une approche précise. Faire un mouvement ample et rythmé se verra sur le visage et aura une répercussion sur la respiration. Faire un mouvement précipité verra une accélération de la respiration et un visage plus fermé
- le cerveau gère une émotion qui aide à la performance : on peut être en colère, le mouvement va être agressif. On va être découragé, le mouvement va être fade sans énergie ni conviction. On va être euphorique, le mouvement va être décuplé et rapide. On va être serein, le mouvement sera rythmé.
- la respiration joue un rôle physiologique et émotionnel : respiration lente pour un mouvement lent; respiration coupée pour un mouvement hâché; respiration profonde pour un mouvement ample.

Emotion, muscle et respiration


C'est en visionnant Christophe Pinna, le coach sportif (et 4 fois champion du monde de karaté en passant) de la Star Academy V que je me suis aperçu du rôle de ces trois clefs fondamentales dans la performance. Appliquées au golf elles forment un tout indissociable :
- le corps a été programmé pour exécuter une tâche bien précise : driver loin, faire une approche précise. Faire un mouvement ample et rythmé se verra sur le visage et aura une répercussion sur la respiration. Faire un mouvement précipité verra une accélération de la respiration et un visage plus fermé
- le cerveau gère une émotion qui aide à la performance : on peut être en colère, le mouvement va être agressif. On va être découragé, le mouvement va être fade sans énergie ni conviction. On va être euphorique, le mouvement va être décuplé et rapide. On va être serein, le mouvement sera rythmé.
- la respiration joue un rôle physiologique et émotionnel : respiration lente pour un mouvement lent; respiration coupée pour un mouvement hâché; respiration profonde pour un mouvement ample.

dimanche 13 novembre 2005

Dernière compétition 2005


21 points ! ai-je touché le fond ? aussi surprenant que cela paraisse, non ! mon swing s'est petit à petit amélioré grâce à Ulrich, un co-compétiteur qui m'a dit que mon stance était trop large, ce qui m'obligeait à revenir par-dessous ou de transférer avec du sway et de finir à gauche par excès de rotation...
Son observation a été parfaitement juste. j'ai testé, et mes balles sont devenues plus droites, mon swing plus fluide, juste en rapprochant les pieds !
J'ai senti quelque chose se passer. Aux fers, un armement vertical en laissant la gravité agir a donné de belles balles au fer 6. Aux bois, des balles bien compressées avec une jolie trajectoire ascendante. Des mois que j'attendais une régularité reproductible et pas du "voyons ce qu'il va se passer'. Les 21 points ? la faute au.. putting. Une fois n'est pas coutume ! 7*3 putts. Du jamais vu. 9 double bogeys au retour. Je suis prêt pour 2006 !

Dernière compétition 2005


21 points ! ai-je touché le fond ? aussi surprenant que cela paraisse, non ! mon swing s'est petit à petit amélioré grâce à Ulrich, un co-compétiteur qui m'a dit que mon stance était trop large, ce qui m'obligeait à revenir par-dessous ou de transférer avec du sway et de finir à gauche par excès de rotation...
Son observation a été parfaitement juste. j'ai testé, et mes balles sont devenues plus droites, mon swing plus fluide, juste en rapprochant les pieds !
J'ai senti quelque chose se passer. Aux fers, un armement vertical en laissant la gravité agir a donné de belles balles au fer 6. Aux bois, des balles bien compressées avec une jolie trajectoire ascendante. Des mois que j'attendais une régularité reproductible et pas du "voyons ce qu'il va se passer'. Les 21 points ? la faute au.. putting. Une fois n'est pas coutume ! 7*3 putts. Du jamais vu. 9 double bogeys au retour. Je suis prêt pour 2006 !

vendredi 11 novembre 2005

Coupe 5/7


Je ne sais plus trop quoi penser. Les conditions climatiques sont correctes pour la saison et j'ai décidé d'être sage en privilégiant la sérénité et la sécurité. Avec cette stratégie, c'est le bogey assuré. Mais un mauvais départ comme au 7 et des approches trop lointains, le par est non seulement difficile masi rattraper les quelques points perdus devient très dur... Même en partant des boules bleues comme c'était le cas et donc avec 3 points de moins, le 7 et le 16 furent fatals. Dommage. Mais c'e n'est pas une question de distance, juste de précision et de tactique. Puis un effondrement avec quelques doubles. Certes pas de grosses catastrophes mais du fade.

Coupe 5/7


Je ne sais plus trop quoi penser. Les conditions climatiques sont correctes pour la saison et j'ai décidé d'être sage en privilégiant la sérénité et la sécurité. Avec cette stratégie, c'est le bogey assuré. Mais un mauvais départ comme au 7 et des approches trop lointains, le par est non seulement difficile masi rattraper les quelques points perdus devient très dur... Même en partant des boules bleues comme c'était le cas et donc avec 3 points de moins, le 7 et le 16 furent fatals. Dommage. Mais c'e n'est pas une question de distance, juste de précision et de tactique. Puis un effondrement avec quelques doubles. Certes pas de grosses catastrophes mais du fade.

jeudi 10 novembre 2005

Backspin et stries


Le backspin est généré par la compression de la balle sur la face du club. Ceci se produit entre le moment de l’impact et le moment de séparation de la face du club. Le loft présenté a la balle crée une distorsion de celle ci et nous donne l’angle de lancement de la balle et son backspin. La balle ne glisse donc pas sur la face de club, elle est simplement comprimée dans la zone des stries. Les photographies disponibles le prouvent. Plus l’angle du club est ouvert plus il génère du backspin. C’est pour cela que les pros réussissent des coups avec plus de backspin, ils compriment plus la balle.Les stries n’ont aucune incidence sur l’angle de lancement ou le backspin d’une balle.
Le fabricant de club Ralph Maltby a même crée et joué avec succès une série de fers sans stries pour prouver cela.Toutefois, il faut noter que sur un coup de pitch tapé à très faible vitesse, il est possible qu’un club à stries génère plus de spin qu’un club sans. Sur ce genre de coup, la balle peut en effet glisser (très peu) et créer de la friction avec les cotés tranchants des stries.Vous vous souvenez peu être des tests fait par l’USGA dans les années 80 sur les stries dans des conditions de jeu sèches et mouillées pour en conclure que c’était bien le loft du club qui gênerait le backspin.

Mais alors a quoi servent les stries? Comme les pneus de voiture qui remplissent pleinement leur rôle par temps sec, les clubs sans stries fonctionneraient très bien eux aussi dans sur fairways secs. Mais sur herbe mouillée ou dans le cas d’herbe prise entre la balle et la face, les stries permettent d’évacuer une partie de ces matériaux. Sans stries vous risquez le « flyer », la balle qui part très haut et sans effet. Dans ce cas précis la balle peut glisser sur la face grâce à l’effet lubrifiant de l’eau ou de l’herbe.Titleist en vantant leur nouveau wedge Spin Milled dit ceci le site titleist.com.fr : « Le volume des stries des wedges Vokey Spin Milled est ainsi de 30% supérieur à celui des wedges traditionnel, ce qui donne des coups bien plus réguliers et avec plus d'effets dans l'herbe grasse, dense et humide. »

Voila la raison pour laquelle un SandWedge n'est pas mieux qu'un autre. ce n'est qu'une histoire de sensations. Par contre les balles plus tendres peuvent répondre aux besoins de back spincar elles se comprimeront mieux.
Source : Golf Zone

Backspin et stries


Le backspin est généré par la compression de la balle sur la face du club. Ceci se produit entre le moment de l’impact et le moment de séparation de la face du club. Le loft présenté a la balle crée une distorsion de celle ci et nous donne l’angle de lancement de la balle et son backspin. La balle ne glisse donc pas sur la face de club, elle est simplement comprimée dans la zone des stries. Les photographies disponibles le prouvent. Plus l’angle du club est ouvert plus il génère du backspin. C’est pour cela que les pros réussissent des coups avec plus de backspin, ils compriment plus la balle.Les stries n’ont aucune incidence sur l’angle de lancement ou le backspin d’une balle.
Le fabricant de club Ralph Maltby a même crée et joué avec succès une série de fers sans stries pour prouver cela.Toutefois, il faut noter que sur un coup de pitch tapé à très faible vitesse, il est possible qu’un club à stries génère plus de spin qu’un club sans. Sur ce genre de coup, la balle peut en effet glisser (très peu) et créer de la friction avec les cotés tranchants des stries.Vous vous souvenez peu être des tests fait par l’USGA dans les années 80 sur les stries dans des conditions de jeu sèches et mouillées pour en conclure que c’était bien le loft du club qui gênerait le backspin.

Mais alors a quoi servent les stries? Comme les pneus de voiture qui remplissent pleinement leur rôle par temps sec, les clubs sans stries fonctionneraient très bien eux aussi dans sur fairways secs. Mais sur herbe mouillée ou dans le cas d’herbe prise entre la balle et la face, les stries permettent d’évacuer une partie de ces matériaux. Sans stries vous risquez le « flyer », la balle qui part très haut et sans effet. Dans ce cas précis la balle peut glisser sur la face grâce à l’effet lubrifiant de l’eau ou de l’herbe.Titleist en vantant leur nouveau wedge Spin Milled dit ceci le site titleist.com.fr : « Le volume des stries des wedges Vokey Spin Milled est ainsi de 30% supérieur à celui des wedges traditionnel, ce qui donne des coups bien plus réguliers et avec plus d'effets dans l'herbe grasse, dense et humide. »

Voila la raison pour laquelle un SandWedge n'est pas mieux qu'un autre. ce n'est qu'une histoire de sensations. Par contre les balles plus tendres peuvent répondre aux besoins de back spincar elles se comprimeront mieux.
Source : Golf Zone

mercredi 9 novembre 2005

DVD Mike Austin



Patrick, un forumiste m'envoie très gentiment le DVD sur Mike Austin, golfeur remarquable s'il en est, puisqu'il effectua son meilleur drive à l'âge de 64 ans dans un tournoi officiel : 471 mètres aidé par un vent favorable de 50 km/h, mais quand même... Dans ce DVD, Mike dévoile ses secrets : les clés du swing sont des petits trucs faciles à mémoriser pour avoir un bon swing.
Voici un moyen facile de mémoriser le swing à la fois doux et très puissant de Mike Austin. Prenez une mesure des deux bras vers la balle. Utilisez la poussée vers l’avant pour redresser le poignet et initier une montée souple

Pivotez d’un équilibre sur 2 pieds, à un équilibre sur le pied droit puis sur le pied gauche. Utilisez vos mains et vos bras et swinguez la tête de club autour de votre corps.
Utilisez ces clés lorsque vous vous entraînez au practice. Sur le parcours vous pouvez simplifier encore plus : Pensez au double pivot … De 4h00 à 10h00. Et swinguez le club dans un cercle avec vos mains.
Cette technique de swing de la tête de club bénéficiera à tous les joueurs, quelque soit leur niveau ou leur âge.

Le swing parfait de Mike Austin, utilise pleinement les 12 joints ou leviers: 2 dans les chevilles, les genoux, les hanches, les épaules, les coudes et les poignets.
J'exploiterai ce DVD en inter-saison, car il recèle des explications jamais entendues auparavant et est tout à fait cohérent avec la technique du lancer de Golf Fondamental System.
Voilà ce qu'en dit le communiqué de presse américain :
  • The Secret Forward Press (this sets your hands and wrist angles and smoothly gets your body into motion)
  • The Secret Compound Pivot (learn how a small 8 inch movement unleashes tremendous power you never knew you had !)
  • The Secret of the Hands and Arms (a simple move to get 'on plane' and stay there !)
  • The Secret Release (throw away conventional golf swing theory ! This natural throwing motion magically increases club head speed with less effort !)

DVD Mike Austin



Patrick, un forumiste m'envoie très gentiment le DVD sur Mike Austin, golfeur remarquable s'il en est, puisqu'il effectua son meilleur drive à l'âge de 64 ans dans un tournoi officiel : 471 mètres aidé par un vent favorable de 50 km/h, mais quand même... Dans ce DVD, Mike dévoile ses secrets : les clés du swing sont des petits trucs faciles à mémoriser pour avoir un bon swing.
Voici un moyen facile de mémoriser le swing à la fois doux et très puissant de Mike Austin. Prenez une mesure des deux bras vers la balle. Utilisez la poussée vers l’avant pour redresser le poignet et initier une montée souple

Pivotez d’un équilibre sur 2 pieds, à un équilibre sur le pied droit puis sur le pied gauche. Utilisez vos mains et vos bras et swinguez la tête de club autour de votre corps.
Utilisez ces clés lorsque vous vous entraînez au practice. Sur le parcours vous pouvez simplifier encore plus : Pensez au double pivot … De 4h00 à 10h00. Et swinguez le club dans un cercle avec vos mains.
Cette technique de swing de la tête de club bénéficiera à tous les joueurs, quelque soit leur niveau ou leur âge.

Le swing parfait de Mike Austin, utilise pleinement les 12 joints ou leviers: 2 dans les chevilles, les genoux, les hanches, les épaules, les coudes et les poignets.
J'exploiterai ce DVD en inter-saison, car il recèle des explications jamais entendues auparavant et est tout à fait cohérent avec la technique du lancer de Golf Fondamental System.
Voilà ce qu'en dit le communiqué de presse américain :
  • The Secret Forward Press (this sets your hands and wrist angles and smoothly gets your body into motion)
  • The Secret Compound Pivot (learn how a small 8 inch movement unleashes tremendous power you never knew you had !)
  • The Secret of the Hands and Arms (a simple move to get 'on plane' and stay there !)
  • The Secret Release (throw away conventional golf swing theory ! This natural throwing motion magically increases club head speed with less effort !)

dimanche 6 novembre 2005

Coupe du capitaine - swing de pappy


Juste après l'échauffement au practice, une entorse en courant aller chercher un bois 3 ! Douleur difficile à supporter, je ne sais même pas si je vais pouvoir jouer. Joël, le starter ne dit pouvoir que me déplacer d'une équipe. Autrement dit, je dois jouer ou abandonner. Je décide d'essayer. Je peux à peine m'appuyer sur le pied droit et lors du premier drive (des blancs), je dis à Jean-René, un co-compétiteur, que je ne vais pas pouvoir faire de transfert de poids. La balle part bien haut et droit et loin finalement. Cela va être comme ça pendant 9 trous. Ne pouvant m'appuyer, je dois limiter ma rotation et pourtant la balle part bien et droit. Je voulais rester serein, je le suis et agréablement surpris évidemment de pouvoir jouer.. et scorer ! Je fais 2 pars et 2 doubles, les doubles étant causés par un départ défectueux sur le 7 et le 9.
A partir du 10, ma stratégie de change pas, j'essaie d'assurer quand je peux (au fer au lieu du Bois 7) mais mauvaises approches, grattes (c'est vrai que le terrain est gras mais quand même). Avec les 12 petits points ramassés, la diffférence se situe au niveau de ma cheville droite. En effet, elle est chaude et tient mieux, je fais plus de rotation, je dois perdre certainement de la fluidité, du rythme en voulant envoyer plus loin, bref, c'est un festival de double-bogeys et même une croix sur le 16 avec une balle dans l'eau et 3 putts.
La morale de cette histoire qui aurait pu être un beau conte de fée, c'est que je peux bien jouer au golf, que ce n'est pas nécessairement un problème de mental, mais technique avec le mauvais défaut (involontaire) de vouloir faire un geste ample et beau, alors qu'un swing raccourci suffit. Bref, le swing de pappy est plus efficace que le swing complet - en tout cas pour l'instant. A méditer pour le futur !

Coupe du capitaine - swing de pappy


Juste après l'échauffement au practice, une entorse en courant aller chercher un bois 3 ! Douleur difficile à supporter, je ne sais même pas si je vais pouvoir jouer. Joël, le starter ne dit pouvoir que me déplacer d'une équipe. Autrement dit, je dois jouer ou abandonner. Je décide d'essayer. Je peux à peine m'appuyer sur le pied droit et lors du premier drive (des blancs), je dis à Jean-René, un co-compétiteur, que je ne vais pas pouvoir faire de transfert de poids. La balle part bien haut et droit et loin finalement. Cela va être comme ça pendant 9 trous. Ne pouvant m'appuyer, je dois limiter ma rotation et pourtant la balle part bien et droit. Je voulais rester serein, je le suis et agréablement surpris évidemment de pouvoir jouer.. et scorer ! Je fais 2 pars et 2 doubles, les doubles étant causés par un départ défectueux sur le 7 et le 9.
A partir du 10, ma stratégie de change pas, j'essaie d'assurer quand je peux (au fer au lieu du Bois 7) mais mauvaises approches, grattes (c'est vrai que le terrain est gras mais quand même). Avec les 12 petits points ramassés, la diffférence se situe au niveau de ma cheville droite. En effet, elle est chaude et tient mieux, je fais plus de rotation, je dois perdre certainement de la fluidité, du rythme en voulant envoyer plus loin, bref, c'est un festival de double-bogeys et même une croix sur le 16 avec une balle dans l'eau et 3 putts.
La morale de cette histoire qui aurait pu être un beau conte de fée, c'est que je peux bien jouer au golf, que ce n'est pas nécessairement un problème de mental, mais technique avec le mauvais défaut (involontaire) de vouloir faire un geste ample et beau, alors qu'un swing raccourci suffit. Bref, le swing de pappy est plus efficace que le swing complet - en tout cas pour l'instant. A méditer pour le futur !

mardi 1 novembre 2005

Qu'est-ce que le golf ?



Après un aller désastreux, restait le retour avec aucune attente de précise; j'avais eu envie de quitter la partie au début du 5 et si je faisais une croix de plus, c'était sûr que j'allais partir ou m'enfermer. Comme j'étais sûr que j'allais de nouveau avoir envie de m'entraîner, je me suis dit autant rester dans cette partie, établir un nouveau record de croix ?
Je crois n'avoir pensé à rien. Juste jouer sans but comme ça avec un swing tranquille : 19 points. Sans forcer, en étant à des années-lumières de ce que je crois pouvoir faire en terme de vitesse et de sensations. Comme un "papy" (pardon aux papys...) Je ne comprends plus rien au golf.
Dans ma partie, il y avait Robert, un gros frappeur (220 mètres au bois 5 par exemple) jeune et athlétique (1m92) et Hubert, un "papy" avec un swing. Le premier fait 31 points, le deuxième 39 points : c'est quoi le golf ? Je n'en sais plus rien. Il va falloir que je revoie cette notion...

Qu'est-ce que le golf ?



Après un aller désastreux, restait le retour avec aucune attente de précise; j'avais eu envie de quitter la partie au début du 5 et si je faisais une croix de plus, c'était sûr que j'allais partir ou m'enfermer. Comme j'étais sûr que j'allais de nouveau avoir envie de m'entraîner, je me suis dit autant rester dans cette partie, établir un nouveau record de croix ?
Je crois n'avoir pensé à rien. Juste jouer sans but comme ça avec un swing tranquille : 19 points. Sans forcer, en étant à des années-lumières de ce que je crois pouvoir faire en terme de vitesse et de sensations. Comme un "papy" (pardon aux papys...) Je ne comprends plus rien au golf.
Dans ma partie, il y avait Robert, un gros frappeur (220 mètres au bois 5 par exemple) jeune et athlétique (1m92) et Hubert, un "papy" avec un swing. Le premier fait 31 points, le deuxième 39 points : c'est quoi le golf ? Je n'en sais plus rien. Il va falloir que je revoie cette notion...

Jour des morts




9 points à l'aller avec 5 croix et 19 au retour. Cette partie pourrait se résumer là mais il y a bien pire.

Des larmes aux yeux à la fin du 4, ridicule par 3 où je fais 6.
Que s'est-il passé ? je ne le sais pas moi-même.
Je sais qu'au départ je n'étais pas spécialement concentré, je n'avais pas l'envie de mordre. Je voulais être détendu avec l'idée de jouer sans tenir compte du résultat. On me bassinait tellement avec ça : joue pour te faire plaisir, ne pense pas au score, le golf est un jeu, prends du plaisir... Malheureusement, je suis arrivé au tee 1 trop détendu, en rigolant. je fais deux coups d'essai monstrueux, avec encore le sourire d'avoir vu le départ de Hubert en chandelle à gauche à une cinquantaine de mètres avant les rouges...
Trop détendu et trop confiant, je ne sais. Pas assez concentré certainement. Ma balle part en chandelle sur la droite avant le petit bois de droite. 3 coups pour en sortir. J'arrive sur le green en 8 après encore des péripéties comme une approche topée.
J'aurais dû déclarer la balle injouable et refaire un drive.
Après j'ai pourtant positivé. Et je me suis honnêtement dit qu'une croix ce n'était rien, que je pouvais quand même scorer. Qu'il restait 17 trous.
Un départ du 2 très moyen, alors que tous les entraînements précédents avaient mis ma balle sur le green au fer 5. Ma balle part à gauche, une approche dans le gras, je prends un 56° pour ne pas gratter et rester planté. Ma balle survole le green et je me retrouve sur le fairway du 16. Je ne m'affole toujours pas, le drapeau n'est pas très loin. Avec un PW, je fais une légère approche qui a failli heurter un arbre, ma balle court sur le green et je me retrouve sur le pré-green.. Approche roulée trop courte, deux putts. Deuxième croix.
Je me dis intérieurement que ce n'est pas grave. Que je peux toujours scorer. Et j'y crois encore.
Là la coupe commence à déborder avec un départ à gauche toute - comme d'habitude et très court... je prends mon bois 7, la balle est droite mais touche un arbre, la balle reste sous les bois. Je joue une provisoire qui file loin et bien. Je décide de rechercher ma balle, je la trouve, je veux assurer le placement sur le fairway. La fenêtre est courte, ma balle tombe dans l'obstacle, je droppe.. encore une croix. Ca ne m'était jamais arrivé. Au départ du par 3 suivant, je fais les comptes et me dis que ça commence à sentir le roussi.
Mon objectif sur ce trou est de mettre la balle gentiment sur le fairway quitte à ne pas prendre le green. Je veux quelques points pour me rasseoir sur mes certitudes... Ma balle part à gauche sous un sapin. J'ai dû me relever pour voir le résultat. Je recentre, je gratte l'approche, le coeur n'y est plus. Je fais une croix la quatrième d'affilée, d'où mes larmes aux yeux. En arrivera une cinquième, sur le trou 7 la dernière. Mais trop c'est trop. Un vrai cimetière en ce jour de la Toussaint.

Jour des morts




9 points à l'aller avec 5 croix et 19 au retour. Cette partie pourrait se résumer là mais il y a bien pire.

Des larmes aux yeux à la fin du 4, ridicule par 3 où je fais 6.
Que s'est-il passé ? je ne le sais pas moi-même.
Je sais qu'au départ je n'étais pas spécialement concentré, je n'avais pas l'envie de mordre. Je voulais être détendu avec l'idée de jouer sans tenir compte du résultat. On me bassinait tellement avec ça : joue pour te faire plaisir, ne pense pas au score, le golf est un jeu, prends du plaisir... Malheureusement, je suis arrivé au tee 1 trop détendu, en rigolant. je fais deux coups d'essai monstrueux, avec encore le sourire d'avoir vu le départ de Hubert en chandelle à gauche à une cinquantaine de mètres avant les rouges...
Trop détendu et trop confiant, je ne sais. Pas assez concentré certainement. Ma balle part en chandelle sur la droite avant le petit bois de droite. 3 coups pour en sortir. J'arrive sur le green en 8 après encore des péripéties comme une approche topée.
J'aurais dû déclarer la balle injouable et refaire un drive.
Après j'ai pourtant positivé. Et je me suis honnêtement dit qu'une croix ce n'était rien, que je pouvais quand même scorer. Qu'il restait 17 trous.
Un départ du 2 très moyen, alors que tous les entraînements précédents avaient mis ma balle sur le green au fer 5. Ma balle part à gauche, une approche dans le gras, je prends un 56° pour ne pas gratter et rester planté. Ma balle survole le green et je me retrouve sur le fairway du 16. Je ne m'affole toujours pas, le drapeau n'est pas très loin. Avec un PW, je fais une légère approche qui a failli heurter un arbre, ma balle court sur le green et je me retrouve sur le pré-green.. Approche roulée trop courte, deux putts. Deuxième croix.
Je me dis intérieurement que ce n'est pas grave. Que je peux toujours scorer. Et j'y crois encore.
Là la coupe commence à déborder avec un départ à gauche toute - comme d'habitude et très court... je prends mon bois 7, la balle est droite mais touche un arbre, la balle reste sous les bois. Je joue une provisoire qui file loin et bien. Je décide de rechercher ma balle, je la trouve, je veux assurer le placement sur le fairway. La fenêtre est courte, ma balle tombe dans l'obstacle, je droppe.. encore une croix. Ca ne m'était jamais arrivé. Au départ du par 3 suivant, je fais les comptes et me dis que ça commence à sentir le roussi.
Mon objectif sur ce trou est de mettre la balle gentiment sur le fairway quitte à ne pas prendre le green. Je veux quelques points pour me rasseoir sur mes certitudes... Ma balle part à gauche sous un sapin. J'ai dû me relever pour voir le résultat. Je recentre, je gratte l'approche, le coeur n'y est plus. Je fais une croix la quatrième d'affilée, d'où mes larmes aux yeux. En arrivera une cinquième, sur le trou 7 la dernière. Mais trop c'est trop. Un vrai cimetière en ce jour de la Toussaint.

dimanche 23 octobre 2005

Coupe de France de Pitch and putt




Samedi 22 et dimanche 23 octobre 2005 a eu lieu la première édition de la Coupe de France de pitch and putt au golf de la Poudrerie à Livry Gargan dans le 93 à l'initiative de la Fédération française de Golf.

Le parcours : c'était un 9 trous à parcourir deux fois. Les distances variaient entre 40 et 90 m. Les départs se faisaient exclusivement sur tapis pour éviter un trop grand nombre de divots que le terrain n'aurait pas supporté.
En fait il s'agit d'un vrai golf avec bunkers, obstacles d'eau. Seuls les départs étaient avancés pour satisfaire au cahier des charges. Terrain vallonné, greens avec pentes etc… tout était fait pour rendre le challenge intéressant.

Le réglement : les joueurs n'avaient droit qu'à seulement 3 clubs – dont le putter. Et tout le monde partait des mêmes départs, homme ou femme, bas index ou plus hauts index.

La compétition : l'édition 2005 regroupait 56 joueurs de toute la France et les index s'échelonnaient de –0.4 à 23.7. En effet l'index de départ était limité à 24 par la Fédération. Le meilleur score sur les deux tours a été –10, le plus haut +34 (pour un par 54) avec un record du parcours à –6.
Les 10 premiers sont tous des index à un chiffre (index le plus haut : 8.8). Les 20 premiers sont tous des un chiffre à l'exception de 2 joueurs à 11.3. Ce qui prouve que sous ses abords conviviaux, le pitch and putt a une dimension sportive certaine. Il requiert technique et régularité constante.

J'étais sûr de faire "quelque chose" lors de cette compétition, car mes wedges sont les clubs que j'utilise le plus, ceux avec lesquels je m'entraîne le plus.
Un sentiment d'être en terrain connu. Arrivée sur la balle, prise des distances, choix du club, vérification des conditions météo. Deux ou trois mouvements d'essai. Pause pour intégrer toute la routine et swing. Les reste c'est fait au putting, avec concentration, application et détermination aidé en cela par ma cadette. Capacité de ne pas se démobiliser malgré un double, deux doubles et en vouloir, compter son score trou après trou. Tout cela pour avoir l'honneur de finir 21° avec un score le samedi de +5 et le dimanche de +1.
Faire des pars à la suite et quelques birdies n'est pas un problème quand on se concentre sur l'objectif à atteindre : faire de son mieux sans se soucier des conséquences. Difficile équilibre entre tension et relâchement.
Photo : Danfirst (tu étais là au mauvais moment !)

Coupe de France de Pitch and putt




Samedi 22 et dimanche 23 octobre 2005 a eu lieu la première édition de la Coupe de France de pitch and putt au golf de la Poudrerie à Livry Gargan dans le 93 à l'initiative de la Fédération française de Golf.

Le parcours : c'était un 9 trous à parcourir deux fois. Les distances variaient entre 40 et 90 m. Les départs se faisaient exclusivement sur tapis pour éviter un trop grand nombre de divots que le terrain n'aurait pas supporté.
En fait il s'agit d'un vrai golf avec bunkers, obstacles d'eau. Seuls les départs étaient avancés pour satisfaire au cahier des charges. Terrain vallonné, greens avec pentes etc… tout était fait pour rendre le challenge intéressant.

Le réglement : les joueurs n'avaient droit qu'à seulement 3 clubs – dont le putter. Et tout le monde partait des mêmes départs, homme ou femme, bas index ou plus hauts index.

La compétition : l'édition 2005 regroupait 56 joueurs de toute la France et les index s'échelonnaient de –0.4 à 23.7. En effet l'index de départ était limité à 24 par la Fédération. Le meilleur score sur les deux tours a été –10, le plus haut +34 (pour un par 54) avec un record du parcours à –6.
Les 10 premiers sont tous des index à un chiffre (index le plus haut : 8.8). Les 20 premiers sont tous des un chiffre à l'exception de 2 joueurs à 11.3. Ce qui prouve que sous ses abords conviviaux, le pitch and putt a une dimension sportive certaine. Il requiert technique et régularité constante.

J'étais sûr de faire "quelque chose" lors de cette compétition, car mes wedges sont les clubs que j'utilise le plus, ceux avec lesquels je m'entraîne le plus.
Un sentiment d'être en terrain connu. Arrivée sur la balle, prise des distances, choix du club, vérification des conditions météo. Deux ou trois mouvements d'essai. Pause pour intégrer toute la routine et swing. Les reste c'est fait au putting, avec concentration, application et détermination aidé en cela par ma cadette. Capacité de ne pas se démobiliser malgré un double, deux doubles et en vouloir, compter son score trou après trou. Tout cela pour avoir l'honneur de finir 21° avec un score le samedi de +5 et le dimanche de +1.
Faire des pars à la suite et quelques birdies n'est pas un problème quand on se concentre sur l'objectif à atteindre : faire de son mieux sans se soucier des conséquences. Difficile équilibre entre tension et relâchement.
Photo : Danfirst (tu étais là au mauvais moment !)

mardi 4 octobre 2005

Finale à Valcros III


Toutes les bonnes choses ont une fin et malheureusement il fallut quitter à regret une endroit magnifique, un golf certes assez court mais très technique et étroit qui prit une autre dimension avec le mistral gagnant. Il fallut quitter des personnes attachantes et éminemment sympathiques. D'un coup d'aile, il fallut reprendre le périphérique et retourner dans la froidure des lendemains brumeux d'octobre dans le nord de la France avec des rêves et des souvenirs plein la tête. C'est si beau et si bon le golf quand se mêle harmonieusement à un cadre enchanteur et à des gens remarquables.

Finale à Valcros III


Toutes les bonnes choses ont une fin et malheureusement il fallut quitter à regret une endroit magnifique, un golf certes assez court mais très technique et étroit qui prit une autre dimension avec le mistral gagnant. Il fallut quitter des personnes attachantes et éminemment sympathiques. D'un coup d'aile, il fallut reprendre le périphérique et retourner dans la froidure des lendemains brumeux d'octobre dans le nord de la France avec des rêves et des souvenirs plein la tête. C'est si beau et si bon le golf quand se mêle harmonieusement à un cadre enchanteur et à des gens remarquables.

lundi 3 octobre 2005

Finale à Valcros II


Les festivités au programme n'étaient pas en reste, superbe : reconnaissance le samedi après-midi dans la douceur printanière d'un sud éclairé par une lumière divine, apéritif aux chandelles qui rivalisaient avec les étoiles d'un ciel bien dégagé, dîner de gala - certes un peu long - mais qui fut l'occasion de rencontrer des gens incroyablement passionnés comme Patrice Hagelauer (entraîneur de tennis de l'Equipe de France de Coupe Davis), Stéphane Coudoux (journaliste et Directeur de publicité à Golf Européen) petit déjeuner pantagruélique avant de début des hostilités. Le score personnel fut accessoire malgré un très bon départ qui devait augurer d'une belle prestation. Las, le vent et des erreurs stratégiques vinrent ternir le tableau sportif que seul un buffet royal après la compétition parvint à effacer. Les affres d'une compétition bien ventée mais ô combien chaleureuse ne furent plus qu'une lointaine anecdote !

Finale à Valcros II


Les festivités au programme n'étaient pas en reste, superbe : reconnaissance le samedi après-midi dans la douceur printanière d'un sud éclairé par une lumière divine, apéritif aux chandelles qui rivalisaient avec les étoiles d'un ciel bien dégagé, dîner de gala - certes un peu long - mais qui fut l'occasion de rencontrer des gens incroyablement passionnés comme Patrice Hagelauer (entraîneur de tennis de l'Equipe de France de Coupe Davis), Stéphane Coudoux (journaliste et Directeur de publicité à Golf Européen) petit déjeuner pantagruélique avant de début des hostilités. Le score personnel fut accessoire malgré un très bon départ qui devait augurer d'une belle prestation. Las, le vent et des erreurs stratégiques vinrent ternir le tableau sportif que seul un buffet royal après la compétition parvint à effacer. Les affres d'une compétition bien ventée mais ô combien chaleureuse ne furent plus qu'une lointaine anecdote !

dimanche 2 octobre 2005

Finale à Valcros I


Nous étions logés à 5 ou 6 dans une villa de luxe avec piscine. Du grand standing dans des maisons aux chambres et salles de bain immaculées, télévision par satellite, frigo américain avec la machine à glaçons, salon en cuir ... un vrai rêve pour un modeste golfeur peu habitué aux finales de ce niveau.

Finale à Valcros I


Nous étions logés à 5 ou 6 dans une villa de luxe avec piscine. Du grand standing dans des maisons aux chambres et salles de bain immaculées, télévision par satellite, frigo américain avec la machine à glaçons, salon en cuir ... un vrai rêve pour un modeste golfeur peu habitué aux finales de ce niveau.

samedi 1 octobre 2005

Finale à Valcros


Qualifié in extremis dans mon golf pour la finale du Trophée Gestion de Patrimoine Privé le groupe JP Investissement avit mis les petits plats dans les grands un G.O. de luxe, Patrice Barquez, le commentateur de Sport. Excusez du peu...
L'organisation avait tout prévu : l'avion depuis Orly jusqu'à Toulon, le cadeau de bienvenue (une housse de transport pour sac de golf), le cadre somptueux : le complexe golfique du domaine de Valcros à 20 minutes de l'aéroport, les collines ensoleillées et embaumées, la vue sublime avec le smontagnes d'un côté et la mer de l'autre : sublime !

Finale à Valcros


Qualifié in extremis dans mon golf pour la finale du Trophée Gestion de Patrimoine Privé le groupe JP Investissement avit mis les petits plats dans les grands un G.O. de luxe, Patrice Barquez, le commentateur de Sport. Excusez du peu...
L'organisation avait tout prévu : l'avion depuis Orly jusqu'à Toulon, le cadeau de bienvenue (une housse de transport pour sac de golf), le cadre somptueux : le complexe golfique du domaine de Valcros à 20 minutes de l'aéroport, les collines ensoleillées et embaumées, la vue sublime avec le smontagnes d'un côté et la mer de l'autre : sublime !

mercredi 20 juillet 2005

Rencontre forumiste au PIGC


Le Paris International Golf Club, au nord de Paris dans le 95 (Baillet en France) est le seul golf français dessiné par Jack Nicklaus en personne; mais quel parcours ! un golf géantissime : greens à 3m de vitesse, difficultés techniques variées et intenses, accueil et entretien hors pair (du genre balles de practice amoureusement déposées par un préposé et à volonté !). Ce fut le cadre d'une rencontre (enfin) avec Michel Teichet et quelques forumistes du FFGolf et du Pro-Am : Duchamp, Danfer, Coco, Bob, Pascal, Frédéric,Christian de Troyes et JM. Une belle journée sportive où le petit jeu fut à la hauteur de ma réputation ... après quelques trous... heureusement car pour le grand jeu, il faut assurer grave des blanches ! Par chance, le club house d'une magnificence rare invite les golfeurs fourbus du parcours au repos.
Photo : Christian Vial

Rencontre forumiste au PIGC


Le Paris International Golf Club, au nord de Paris dans le 95 (Baillet en France) est le seul golf français dessiné par Jack Nicklaus en personne; mais quel parcours ! un golf géantissime : greens à 3m de vitesse, difficultés techniques variées et intenses, accueil et entretien hors pair (du genre balles de practice amoureusement déposées par un préposé et à volonté !). Ce fut le cadre d'une rencontre (enfin) avec Michel Teichet et quelques forumistes du FFGolf et du Pro-Am : Duchamp, Danfer, Coco, Bob, Pascal, Frédéric,Christian de Troyes et JM. Une belle journée sportive où le petit jeu fut à la hauteur de ma réputation ... après quelques trous... heureusement car pour le grand jeu, il faut assurer grave des blanches ! Par chance, le club house d'une magnificence rare invite les golfeurs fourbus du parcours au repos.
Photo : Christian Vial

jeudi 9 juin 2005

Citations diverses

"If you watch a game, it's fun. If you play it, it's recreation. If you work at it, it's golf." (Bob Hope)

Citations diverses

"If you watch a game, it's fun. If you play it, it's recreation. If you work at it, it's golf." (Bob Hope)

mercredi 11 mai 2005

Match play avec George Viard (10.6)




Aujourd'hui match play avec George lors de la coupe du Président en net. Perdu 4&3 mais de bonnes sensations au swing; c'était fluide et ça partait loin (210 m). Problèmes sur les petits putts... C'est dommage. Quant à George il montre qu'un petit jeu d'enfer (approches-putt) est l'arme pour être un bon joueur de golf.
Il ne faut penser à rien, sauf jouer avec la balle. Le reste vient tout seul. Ne pas forcer mais faire un swing de corps.

Match play avec George Viard (10.6)




Aujourd'hui match play avec George lors de la coupe du Président en net. Perdu 4&3 mais de bonnes sensations au swing; c'était fluide et ça partait loin (210 m). Problèmes sur les petits putts... C'est dommage. Quant à George il montre qu'un petit jeu d'enfer (approches-putt) est l'arme pour être un bon joueur de golf.
Il ne faut penser à rien, sauf jouer avec la balle. Le reste vient tout seul. Ne pas forcer mais faire un swing de corps.