dimanche 6 novembre 2005

Coupe du capitaine - swing de pappy


Juste après l'échauffement au practice, une entorse en courant aller chercher un bois 3 ! Douleur difficile à supporter, je ne sais même pas si je vais pouvoir jouer. Joël, le starter ne dit pouvoir que me déplacer d'une équipe. Autrement dit, je dois jouer ou abandonner. Je décide d'essayer. Je peux à peine m'appuyer sur le pied droit et lors du premier drive (des blancs), je dis à Jean-René, un co-compétiteur, que je ne vais pas pouvoir faire de transfert de poids. La balle part bien haut et droit et loin finalement. Cela va être comme ça pendant 9 trous. Ne pouvant m'appuyer, je dois limiter ma rotation et pourtant la balle part bien et droit. Je voulais rester serein, je le suis et agréablement surpris évidemment de pouvoir jouer.. et scorer ! Je fais 2 pars et 2 doubles, les doubles étant causés par un départ défectueux sur le 7 et le 9.
A partir du 10, ma stratégie de change pas, j'essaie d'assurer quand je peux (au fer au lieu du Bois 7) mais mauvaises approches, grattes (c'est vrai que le terrain est gras mais quand même). Avec les 12 petits points ramassés, la diffférence se situe au niveau de ma cheville droite. En effet, elle est chaude et tient mieux, je fais plus de rotation, je dois perdre certainement de la fluidité, du rythme en voulant envoyer plus loin, bref, c'est un festival de double-bogeys et même une croix sur le 16 avec une balle dans l'eau et 3 putts.
La morale de cette histoire qui aurait pu être un beau conte de fée, c'est que je peux bien jouer au golf, que ce n'est pas nécessairement un problème de mental, mais technique avec le mauvais défaut (involontaire) de vouloir faire un geste ample et beau, alors qu'un swing raccourci suffit. Bref, le swing de pappy est plus efficace que le swing complet - en tout cas pour l'instant. A méditer pour le futur !

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