vendredi 27 décembre 2002

Que cherche-t-on dans le golf ?


est-ce un sport ? en quoi est-il différent ? est-ce parce qu'il se pratique dans un environnement naturel ? est-ce alors une simple marche au milieu des bois ? des sensations écologiques ? un défi sportif ou une reonnaissance sociale ? des sensations ? la quête du Graal, ou tout simplement nous-mêmes ? qu'est-ce qui nous pousse à arpenter les parcours alors qu'il n'y a pas de compétition, d'enjeu, de spectateur, juste les bois et les rares oiseaux ? Quelle recherche faisons-nous ? quelles attentes avons-nous ?
Les réponses sont innombrables et si diverses !
Certains y cherchent un sport où on lutte contre soi-même où réussir au golf consiste à rompre le cercle vicieux du stress, du doute. Il suffit d'être en accord avec soi-même. Le golf est aussi le sport où le plaisir narcissique de progresser et le plaisir masochiste de régresser sont omniprésents.
En match play, on lutte contre l'adversaire mentalement et non physiquement à coup de drives sur le fairway, d'approches précises et de putts meurtriers.
D'autres y cherchent une drogue, une insatisfaction permanente. On y vient et on y revient sans arrêt. C'est une quête de perfection sans fin : la trajectoire, la sensation du contact idéal entre la face de club et la balle. Quand les conditions climatiques sont rébarbatives, il y a ce quelque chose de profondément humain et ancré dans nos âmes que nous cherchons tous et que nous ne trouverons peut-être jamais. Le golf est un sport qui allie action et réflexion intérieure. Il apprend l'humilité, la modestie, le calme.

Que cherche-t-on dans le golf ?


est-ce un sport ? en quoi est-il différent ? est-ce parce qu'il se pratique dans un environnement naturel ? est-ce alors une simple marche au milieu des bois ? des sensations écologiques ? un défi sportif ou une reonnaissance sociale ? des sensations ? la quête du Graal, ou tout simplement nous-mêmes ? qu'est-ce qui nous pousse à arpenter les parcours alors qu'il n'y a pas de compétition, d'enjeu, de spectateur, juste les bois et les rares oiseaux ? Quelle recherche faisons-nous ? quelles attentes avons-nous ?
Les réponses sont innombrables et si diverses !
Certains y cherchent un sport où on lutte contre soi-même où réussir au golf consiste à rompre le cercle vicieux du stress, du doute. Il suffit d'être en accord avec soi-même. Le golf est aussi le sport où le plaisir narcissique de progresser et le plaisir masochiste de régresser sont omniprésents.
En match play, on lutte contre l'adversaire mentalement et non physiquement à coup de drives sur le fairway, d'approches précises et de putts meurtriers.
D'autres y cherchent une drogue, une insatisfaction permanente. On y vient et on y revient sans arrêt. C'est une quête de perfection sans fin : la trajectoire, la sensation du contact idéal entre la face de club et la balle. Quand les conditions climatiques sont rébarbatives, il y a ce quelque chose de profondément humain et ancré dans nos âmes que nous cherchons tous et que nous ne trouverons peut-être jamais. Le golf est un sport qui allie action et réflexion intérieure. Il apprend l'humilité, la modestie, le calme.

mercredi 25 décembre 2002

Principes de base du swing



Un bon swing ne peut se faire que si l'on respecte quelques principes fondamentaux et ce dès le début : GASP : grip, appuis, stance, posture. Pour un droitier, c'est la jambe droite qui sert d'appui ferme au sol.
Il faut obtenir en fin de backswing une extension du torse par rapport aux hanches, bien positionner le club, la tête du joueur restant à son emplacement (mais elle peut tourner un peu sur elle-même) pour que la colonne vertébrale reste droite pendant la rotation. et surtout pour que les angles de la colonne vertébrale restent constants pendant toute l'éxécution du swing (le fameux constant spine angle).
Le downswing doit s'exécuter avec un appui ferme au sol assuré par la jambe gauche pour un droitier, d'où la nécessité du "transfert du poids" du pied droit vers le gauche en fin de backswing et la nécessité de se retrouver avec lea boucle de la ceinture face à l'objectif. Il s'agit, avec la simple rotation tranquille des épaules, de placer le club dans le bon plan (généré par les fondamentaux) puis de laisser tomber le bras gauche devant sa poitrine en ayant le coude gauche le plus près possible de la hanche droite pour retarder le plus possible l'action de la tête de club et ainsi favoriser une plus grande vitesse à l'impact. Tout en tournant le corps de l'arrière vers l'avant, et en laissant la gravité faire, la tête de club va subir la force centrifuge avec une extension naturelle des bras si le grip est léger et s'il y a relâchement des bras l'action accentuée du torse. L'effacement de la hanche gauche va laisser la place libre aux bras pour lancer le club à travers la balle.
L'armement plus prononcé des poignets (dans un plan vertical par exemple) done à la balle une trajectoire plus haute, un roulement de l'avant-bras droit sur le gauche peut favoriser une trajectoire de draw etc..

Principes de base du swing



Un bon swing ne peut se faire que si l'on respecte quelques principes fondamentaux et ce dès le début : GASP : grip, appuis, stance, posture. Pour un droitier, c'est la jambe droite qui sert d'appui ferme au sol.
Il faut obtenir en fin de backswing une extension du torse par rapport aux hanches, bien positionner le club, la tête du joueur restant à son emplacement (mais elle peut tourner un peu sur elle-même) pour que la colonne vertébrale reste droite pendant la rotation. et surtout pour que les angles de la colonne vertébrale restent constants pendant toute l'éxécution du swing (le fameux constant spine angle).
Le downswing doit s'exécuter avec un appui ferme au sol assuré par la jambe gauche pour un droitier, d'où la nécessité du "transfert du poids" du pied droit vers le gauche en fin de backswing et la nécessité de se retrouver avec lea boucle de la ceinture face à l'objectif. Il s'agit, avec la simple rotation tranquille des épaules, de placer le club dans le bon plan (généré par les fondamentaux) puis de laisser tomber le bras gauche devant sa poitrine en ayant le coude gauche le plus près possible de la hanche droite pour retarder le plus possible l'action de la tête de club et ainsi favoriser une plus grande vitesse à l'impact. Tout en tournant le corps de l'arrière vers l'avant, et en laissant la gravité faire, la tête de club va subir la force centrifuge avec une extension naturelle des bras si le grip est léger et s'il y a relâchement des bras l'action accentuée du torse. L'effacement de la hanche gauche va laisser la place libre aux bras pour lancer le club à travers la balle.
L'armement plus prononcé des poignets (dans un plan vertical par exemple) done à la balle une trajectoire plus haute, un roulement de l'avant-bras droit sur le gauche peut favoriser une trajectoire de draw etc..

lundi 23 décembre 2002

Bilan de l'année 2002


Pâques 2002 : j'essaie de taper une balle sur le practice de Montpellier Massane avec mon père : 20 m maxi.
De retour dans l'Aube en Champagne, je vais 3 fois au practice de Troyes-forêt d'Orient : entre 30 et 50 m. Je ne sais pour quelle raison, je commande une série Big Bertha sur un catalogue d'une enseigne spécialisée sport. Je ne connaissais même pas Callaway de nom. Je prends 4 heures de cours pour les bases, la licence FFGolf.
Juillet 2002 : je découvre pour la première fois ce qu'est faire voler une balle (70 m). Le grand chêne mort du practice de Montpellier Massane me sert de tremplin à mes rêves : faire passer la balle par-dessus. Elle semble suspendue en l'air et c'est magique. J'admire un Allemand - index 37 - car ses balles sont si hautes...
Premiers parcours, premiers émois. C'est magique d'avoir un but, plutôt que de taper dans la balle "bêtement. Je dévore les pages techniques de Golf Magazine. Premières hécatombes, faut racheter des sacs de balles.
Août 2002 : première compétition. Hauts et bas s'entremèlent, espoirs et déceptions se croisent au fil des compétitions.
Début novembre 2002 : je suis 32.6. Je découvre le Forum de la FFG, et tous ses membres, une communauté fervente, le siège de la Fédération, je rencontre Hubert Chesneau, le Directeur Général charismatique et Alexis Orloff, un journaliste érudit et un sage... J'apprends à utiliser un bois 3, un driver. J'arrive à 180 m dans les meilleurs jours.
Quelle année 2002 !!
2003 sera difficile à égaler en émotions aussi nouvelles et diverses, mais j'espère qu'elle sera au moins aussi riche et fertile en évènements. L'aventure continue.

Bilan de l'année 2002


Pâques 2002 : j'essaie de taper une balle sur le practice de Montpellier Massane avec mon père : 20 m maxi.
De retour dans l'Aube en Champagne, je vais 3 fois au practice de Troyes-forêt d'Orient : entre 30 et 50 m. Je ne sais pour quelle raison, je commande une série Big Bertha sur un catalogue d'une enseigne spécialisée sport. Je ne connaissais même pas Callaway de nom. Je prends 4 heures de cours pour les bases, la licence FFGolf.
Juillet 2002 : je découvre pour la première fois ce qu'est faire voler une balle (70 m). Le grand chêne mort du practice de Montpellier Massane me sert de tremplin à mes rêves : faire passer la balle par-dessus. Elle semble suspendue en l'air et c'est magique. J'admire un Allemand - index 37 - car ses balles sont si hautes...
Premiers parcours, premiers émois. C'est magique d'avoir un but, plutôt que de taper dans la balle "bêtement. Je dévore les pages techniques de Golf Magazine. Premières hécatombes, faut racheter des sacs de balles.
Août 2002 : première compétition. Hauts et bas s'entremèlent, espoirs et déceptions se croisent au fil des compétitions.
Début novembre 2002 : je suis 32.6. Je découvre le Forum de la FFG, et tous ses membres, une communauté fervente, le siège de la Fédération, je rencontre Hubert Chesneau, le Directeur Général charismatique et Alexis Orloff, un journaliste érudit et un sage... J'apprends à utiliser un bois 3, un driver. J'arrive à 180 m dans les meilleurs jours.
Quelle année 2002 !!
2003 sera difficile à égaler en émotions aussi nouvelles et diverses, mais j'espère qu'elle sera au moins aussi riche et fertile en évènements. L'aventure continue.

dimanche 22 décembre 2002

500ième post sur le forum FFG


Pour mon 500ième post et ma 4° étoile, je ne pouvais que constater que je suis devenu un Homo Forumus, que le forum est un népenthès (selon Alexis Orloff) car il combine trois drogues : l'informatique, la communication et le golf. Docteur Alexis, est-ce grave ? M'en remettrai-je ? Je vous confesse que parfois quand je poste à des heures indues, je ne suis plus vraiment moi-même, un tiers homme, un tiers golfeur, un tiers illuminé philosophe. Le tout très fatigué (et fatiguant ?)
Le forum FFG m'a bien accueilli, il n'y a pas si longtemps (moins de 3 mois) Il s'en est passé des choses en 500 posts, surtout dernièrement. Mais mon meilleur souvenir c'est d'avoir rencontré la plupart des forumsites en chair et en os au Tire-bouchon, avoir pu découvrir qu'ils étaient d'authentiques champion(ne)s passionné(e)s.
Alors quand s'affichera la 4° étoile, ce seront 4 étoiles de remerciements pour m'avoir supporté. Je promets que dans les 500 prochains posts, je... resterai moi-même, un petit tigre qui rugira encore de plaisir.

500ième post sur le forum FFG


Pour mon 500ième post et ma 4° étoile, je ne pouvais que constater que je suis devenu un Homo Forumus, que le forum est un népenthès (selon Alexis Orloff) car il combine trois drogues : l'informatique, la communication et le golf. Docteur Alexis, est-ce grave ? M'en remettrai-je ? Je vous confesse que parfois quand je poste à des heures indues, je ne suis plus vraiment moi-même, un tiers homme, un tiers golfeur, un tiers illuminé philosophe. Le tout très fatigué (et fatiguant ?)
Le forum FFG m'a bien accueilli, il n'y a pas si longtemps (moins de 3 mois) Il s'en est passé des choses en 500 posts, surtout dernièrement. Mais mon meilleur souvenir c'est d'avoir rencontré la plupart des forumsites en chair et en os au Tire-bouchon, avoir pu découvrir qu'ils étaient d'authentiques champion(ne)s passionné(e)s.
Alors quand s'affichera la 4° étoile, ce seront 4 étoiles de remerciements pour m'avoir supporté. Je promets que dans les 500 prochains posts, je... resterai moi-même, un petit tigre qui rugira encore de plaisir.

jeudi 19 décembre 2002

Le facteur X


Pour donner une grande vitesse il faut créer un certain nombre de torsions, que ce soit à la montée ou à la descente. Un homme a beaucoup plus de facilités qu'une femme à sentir un enroulement de ses épaules sur ses hanches et surtout c'est le différentiel de rotation au retour qui va amener la tête de club à grande vitesse sur la balle. D'où le X, car les hanches vont tourner de 30 à 45° maximum alors que les épaules vont tourner de 90° et plus pour les meilleurs et les plus souples. Tiger Woods est l'Exemple du golfeur qui utilise ce facteur X à fond pour envoyer la balle à des vitesses vertigineuses et donc à des distances phénoménales. Cette photo est une véritable illustration de ce différentiel : stabilité du bas du corps, pieds ancrés dans le sol, hanches à peine tournées, aucun sway possible et des épaules qui ont opéré une véritable rotation. Le ressort est sous tension, il n'y a plus qu'à le lâcher...

Le facteur X


Pour donner une grande vitesse il faut créer un certain nombre de torsions, que ce soit à la montée ou à la descente. Un homme a beaucoup plus de facilités qu'une femme à sentir un enroulement de ses épaules sur ses hanches et surtout c'est le différentiel de rotation au retour qui va amener la tête de club à grande vitesse sur la balle. D'où le X, car les hanches vont tourner de 30 à 45° maximum alors que les épaules vont tourner de 90° et plus pour les meilleurs et les plus souples. Tiger Woods est l'Exemple du golfeur qui utilise ce facteur X à fond pour envoyer la balle à des vitesses vertigineuses et donc à des distances phénoménales. Cette photo est une véritable illustration de ce différentiel : stabilité du bas du corps, pieds ancrés dans le sol, hanches à peine tournées, aucun sway possible et des épaules qui ont opéré une véritable rotation. Le ressort est sous tension, il n'y a plus qu'à le lâcher...

mercredi 18 décembre 2002

Réflexion sur la vitesse d'un club à l'impact


Pour aller loin, nul n'est besoin de force; il suffit de voir les poussins ou benjamines du championnat de France pour s'en convaincre.
Ce qui compte c'est la vitesse de la tête de club à l'impact et uniquement à l'impact, ni pendant le backswing, ni pendant le début du downswing !

En fait, il y a plusieurs vitesses à considérer, celle du corps autour de son centre de gravité (le sternum pour simplifier), celle du centre de gravité du club (environ au quart de sa longueur en partant de la tête (il suffit de le mettre en équilibre pour déterminer ce point) autour des poignets qui tiennent le club.

Pendant ce mouvement du club autour du centre de rotation du corps il n'y a pratiquement aucune force centrifuge (dirigée donc vers l'extérieur) et la gravitation a pour effet d'abaisser de façon naturelle le club (et les bras). Ceci est vrai pour un très bon joueur, mais ne l'est pas pour un joueur qui "décasse ses poignets" trop rapidement et voit ainsi s'éloigner le club de son centre de rotation avant la fin de cette première partie du downswing. Il n'y a pas de retard.
Pendant la suite du downswing, c'est différent : le club, en accélération (due essentiellement à la gravitation, mais aussi à une force, à peu près constante, appliquée par le corps du joueur au club) a acquis une vitesse de rotation non négligeable et se trouve à peu près vertical. Une force centrifuge apparaît, dont l'effet est d'éloigner le CG du club du centre de rotation. Si le joueur n'effectue pas une rétention des poignets, le club commence à tourner, aussi de façon naturelle, autour des poignets.Le joueur est alors rentré dans ce que l'on appelle parfois la "zone de frappe". C'est à partir de ce moment que la vitesse de rotation du club autour des poignets s'ajoute à celle de sa rotation autour du centre du corps du joueur.
Plus le club (en fait: son CG) est proche du corps (en fait: de son centre de rotation) et plus l'inertie du "système en rotation" est faible, donc plus est grande l'accélération de la rotation, pour une même force musculaire du joueur ajoutée à l'effet de la gravitation.
C'est la raison pour laquelle un débutant, qui agit fortement et trop tôt sur le club (par l'intermédiaire de son "grip") n'obtient pas une grande vitesse de la tête du club au moment de l'impact.
A l'opposé, c'est essentiellement pour cette raison qu'un champion obtient le maximum de vitesse.
La puissance donnée par le joueur à sa balle est essentiellement due à la vitesse de la tête du club (rappelons la formule énergétique: e=1/2mv2) mais aussi de la masse (m) qui entre en jeu (la masse de la tête du club, mais aussi une partie de la masse du corps transmise par la qualité du "grip"), par la position du joueur derrière la balle à l'impact et par d'autres facteurs inhérents aux caractéristiques du club (flexibilité,torque, point de flexion)

Réflexion sur la vitesse d'un club à l'impact


Pour aller loin, nul n'est besoin de force; il suffit de voir les poussins ou benjamines du championnat de France pour s'en convaincre.
Ce qui compte c'est la vitesse de la tête de club à l'impact et uniquement à l'impact, ni pendant le backswing, ni pendant le début du downswing !

En fait, il y a plusieurs vitesses à considérer, celle du corps autour de son centre de gravité (le sternum pour simplifier), celle du centre de gravité du club (environ au quart de sa longueur en partant de la tête (il suffit de le mettre en équilibre pour déterminer ce point) autour des poignets qui tiennent le club.

Pendant ce mouvement du club autour du centre de rotation du corps il n'y a pratiquement aucune force centrifuge (dirigée donc vers l'extérieur) et la gravitation a pour effet d'abaisser de façon naturelle le club (et les bras). Ceci est vrai pour un très bon joueur, mais ne l'est pas pour un joueur qui "décasse ses poignets" trop rapidement et voit ainsi s'éloigner le club de son centre de rotation avant la fin de cette première partie du downswing. Il n'y a pas de retard.
Pendant la suite du downswing, c'est différent : le club, en accélération (due essentiellement à la gravitation, mais aussi à une force, à peu près constante, appliquée par le corps du joueur au club) a acquis une vitesse de rotation non négligeable et se trouve à peu près vertical. Une force centrifuge apparaît, dont l'effet est d'éloigner le CG du club du centre de rotation. Si le joueur n'effectue pas une rétention des poignets, le club commence à tourner, aussi de façon naturelle, autour des poignets.Le joueur est alors rentré dans ce que l'on appelle parfois la "zone de frappe". C'est à partir de ce moment que la vitesse de rotation du club autour des poignets s'ajoute à celle de sa rotation autour du centre du corps du joueur.
Plus le club (en fait: son CG) est proche du corps (en fait: de son centre de rotation) et plus l'inertie du "système en rotation" est faible, donc plus est grande l'accélération de la rotation, pour une même force musculaire du joueur ajoutée à l'effet de la gravitation.
C'est la raison pour laquelle un débutant, qui agit fortement et trop tôt sur le club (par l'intermédiaire de son "grip") n'obtient pas une grande vitesse de la tête du club au moment de l'impact.
A l'opposé, c'est essentiellement pour cette raison qu'un champion obtient le maximum de vitesse.
La puissance donnée par le joueur à sa balle est essentiellement due à la vitesse de la tête du club (rappelons la formule énergétique: e=1/2mv2) mais aussi de la masse (m) qui entre en jeu (la masse de la tête du club, mais aussi une partie de la masse du corps transmise par la qualité du "grip"), par la position du joueur derrière la balle à l'impact et par d'autres facteurs inhérents aux caractéristiques du club (flexibilité,torque, point de flexion)

vendredi 13 décembre 2002

Accepter son imperfection ?


Ce n'est pas si simple d'accepter ses carences. Sinon pourquoi changerait-on de professeur, de matériel, de manies ? Pourquoi essaie-t-on de refaire le parcours raté mentalement ou verbalement au bar ? Pourquoi trouve-t-on qu'on est NUL quand on fait une contre-performance ? Pourquoi veut-on parfois raccrocher les clubs et pourquoi nous trouve-ton au practice dès le lendemain et pourquoi attendons-nous avec impatience le dimanche suivant pour voir si ... ? Parce que je trouve qu'on a dans l'ensemble un EGO démesuré (la société, le regard des autres, la compétition...) et que c'est ça le moteur du progrès humain et qui en constitue aussi parfois sa perte.
SI nous étions comblés par la vie (travail, amour et santé) on jouerait certes au golf, mais irions nous tenter de rendre l'imparfait moins imparfait et nous contenterions-nous de notre index actuel ? Alors, je pose la question : qu'est-ce qui peut bien nous faire courir après une petite balle blanche et nous causer autant de joies et de peine ? si ce n'est ce déficit narcissique ? c'est à dire ces petits échecs que la vraie vie (professionnelle, sentimentale) ne peuvent satisfaire et donc ce besoin de perfection dans ce sport qui devient plus important.
Personne n'est pas parfait et on essaie de faire mieux à chaque fois. Mais notre attitude sur un parcours est-elle la même que dans la vie de tous les jours (notamment face à l'adversité) ? En d'autres termes, le golf est-il le reflet de la vie ou transpose-t-on ce qu'on vit sur un golf dans la vie ?

Accepter son imperfection ?


Ce n'est pas si simple d'accepter ses carences. Sinon pourquoi changerait-on de professeur, de matériel, de manies ? Pourquoi essaie-t-on de refaire le parcours raté mentalement ou verbalement au bar ? Pourquoi trouve-t-on qu'on est NUL quand on fait une contre-performance ? Pourquoi veut-on parfois raccrocher les clubs et pourquoi nous trouve-ton au practice dès le lendemain et pourquoi attendons-nous avec impatience le dimanche suivant pour voir si ... ? Parce que je trouve qu'on a dans l'ensemble un EGO démesuré (la société, le regard des autres, la compétition...) et que c'est ça le moteur du progrès humain et qui en constitue aussi parfois sa perte.
SI nous étions comblés par la vie (travail, amour et santé) on jouerait certes au golf, mais irions nous tenter de rendre l'imparfait moins imparfait et nous contenterions-nous de notre index actuel ? Alors, je pose la question : qu'est-ce qui peut bien nous faire courir après une petite balle blanche et nous causer autant de joies et de peine ? si ce n'est ce déficit narcissique ? c'est à dire ces petits échecs que la vraie vie (professionnelle, sentimentale) ne peuvent satisfaire et donc ce besoin de perfection dans ce sport qui devient plus important.
Personne n'est pas parfait et on essaie de faire mieux à chaque fois. Mais notre attitude sur un parcours est-elle la même que dans la vie de tous les jours (notamment face à l'adversité) ? En d'autres termes, le golf est-il le reflet de la vie ou transpose-t-on ce qu'on vit sur un golf dans la vie ?

dimanche 8 décembre 2002

Combat contre Antonio, le clubmaker


Suite à un message sur le forum de la FFG, j'ai demandé au webmaster pourquoi il avait accepté sans sourciller la création d'un nouveau forum Matériel apparemment sous la pression d'un certain Antonio, clubmaker, forum qui au 7 décembre 2002 15h00 semble devenir l'annexe de Valerosports.
Où est l'étiquette ? Que l'on parle de technique, de clubs, qu'on dise à la limite, "tiens va chez Valero, ils sauront t'aider", d'accord; mais tous les nouveaux sujets posés avec à chaque fois la subtile phrase "allez sur le site du même nom +.com, je ne sais pas ce qu'en pensent les autres forumistes, mais je trouve que cela dépasse les bornes. Je n'ai rien contre ce monsieur et qu'il veuille vivre mais dans ce cas-là, il n'a qu'à acheter un espace publicitaire sur la page d'accueil (comme Ping)de la Fédération et le prix de nos licences baissera peut-être ! Je suis net, je suis contre cette utilisation abusive du forum à des fins de propagande. A vous de me contredire ou me soutenir dans la quête d'un forum sans publicité abusive.

Quelques heures plus tard, Hubert Chesneau, Directeur Général de la FFG, écrivait ceci :
Nous avons testé, nous avons vu, nous vous avons lus, nous sommes d'accord et nous n'irons pas plus loin…Le Forum a su, sans avoir à les écrire, respecter des Règles simples qui en ont fait le plaisir partagé, sans pub et sans auto promotion. Continuez dans ce sens, nous, nous veillerons.En attendant nous fermerons dans quelques instants le secteur "Matériel et Technologie", avant de le supprimer totalement.HC

d'où ma réponse satisfaite un peu plus tard :
Merci de veiller messieurs de la Fédération et de prendre en compte nos voeux afin que le forum reste ce qu'il doit être, un espace convivial où on peut jeter nos coups de gueule !Je sais que cela ne doit pas être évident pour vous de faire un "pas en arrière", mais c'est en fait un pas en avant. Bravo !

Soap opéra quand Antonio réapparaît :

Votez pour ou contre une rubrique Matériel c'est plus démocratique !Perso le matériel c'est ma passion et pour ne pas encombrer la rubrique Générale,Vous l'aurez compris !Je vote POUR

d'où certaines réponses ironiques de ma part :
C'est comme les amants, vous croyez qu'ils sont dans le placard, en fait ils sont sous le lit !

mais c'est surtout le combat contre le clones qui est en jeu :

ANtonio a une manière désastreuse de prêcher pour sa paroisse. Sous prétexte que le golf nécessite un investissement de base onéreux (contrairement à la pétanque), certains s'engouffrent dans la brêche de la copie avec de la poudre de perlimpinpin et nous bassinent avec leurs arguments prétendument commerciaux. Je dirais que le tennis s'est largement démocratisé et pas grâce à des contrefacteurs : il n'existe pas de clones de GRANDES marques (Head, Rossignol, Wilson...). Il existe des marques pour toutes les bourses. C'est tout. Avec leurs avantages et leurs inconvénients. Comme l'ont dit certains, une technologie est une propriété intellectuelle; un brevet est déposé pour cela. Il y a légalement infraction voire vol avec les clones. De plus, et on me corrigera volontiers si je fais une erreur, mais le terme "clonage" n'est-il pas réservé qu'à la biologie ? : n'est-ce pas la reproduction d'un animal ou végétal à partir d'une cellule ? On semble bien loin des drivers. En bref, ce n'est que de la pâle copie, qui veut abuser le client par un look identique et un prix attractif, ni plus ni moins. Enfin prendre comme argument que les Américains sont envahis de clones est bien triste...et prétendre qu'on le sera bientôt, bien osé. Maintenant chacun est libre d'acheter ce qu'il veut et où bon lui semble.Non, ce qui m'exaspère vraiment, c'est l'entêtement d'Antonio à vouloir squatter le forum de manière fort impolie et ridicule (autopromotion genre "éléphant dans un magasin de porcelaine de Limoges made in ...China")

Combat contre Antonio, le clubmaker


Suite à un message sur le forum de la FFG, j'ai demandé au webmaster pourquoi il avait accepté sans sourciller la création d'un nouveau forum Matériel apparemment sous la pression d'un certain Antonio, clubmaker, forum qui au 7 décembre 2002 15h00 semble devenir l'annexe de Valerosports.
Où est l'étiquette ? Que l'on parle de technique, de clubs, qu'on dise à la limite, "tiens va chez Valero, ils sauront t'aider", d'accord; mais tous les nouveaux sujets posés avec à chaque fois la subtile phrase "allez sur le site du même nom +.com, je ne sais pas ce qu'en pensent les autres forumistes, mais je trouve que cela dépasse les bornes. Je n'ai rien contre ce monsieur et qu'il veuille vivre mais dans ce cas-là, il n'a qu'à acheter un espace publicitaire sur la page d'accueil (comme Ping)de la Fédération et le prix de nos licences baissera peut-être ! Je suis net, je suis contre cette utilisation abusive du forum à des fins de propagande. A vous de me contredire ou me soutenir dans la quête d'un forum sans publicité abusive.

Quelques heures plus tard, Hubert Chesneau, Directeur Général de la FFG, écrivait ceci :
Nous avons testé, nous avons vu, nous vous avons lus, nous sommes d'accord et nous n'irons pas plus loin…Le Forum a su, sans avoir à les écrire, respecter des Règles simples qui en ont fait le plaisir partagé, sans pub et sans auto promotion. Continuez dans ce sens, nous, nous veillerons.En attendant nous fermerons dans quelques instants le secteur "Matériel et Technologie", avant de le supprimer totalement.HC

d'où ma réponse satisfaite un peu plus tard :
Merci de veiller messieurs de la Fédération et de prendre en compte nos voeux afin que le forum reste ce qu'il doit être, un espace convivial où on peut jeter nos coups de gueule !Je sais que cela ne doit pas être évident pour vous de faire un "pas en arrière", mais c'est en fait un pas en avant. Bravo !

Soap opéra quand Antonio réapparaît :

Votez pour ou contre une rubrique Matériel c'est plus démocratique !Perso le matériel c'est ma passion et pour ne pas encombrer la rubrique Générale,Vous l'aurez compris !Je vote POUR

d'où certaines réponses ironiques de ma part :
C'est comme les amants, vous croyez qu'ils sont dans le placard, en fait ils sont sous le lit !

mais c'est surtout le combat contre le clones qui est en jeu :

ANtonio a une manière désastreuse de prêcher pour sa paroisse. Sous prétexte que le golf nécessite un investissement de base onéreux (contrairement à la pétanque), certains s'engouffrent dans la brêche de la copie avec de la poudre de perlimpinpin et nous bassinent avec leurs arguments prétendument commerciaux. Je dirais que le tennis s'est largement démocratisé et pas grâce à des contrefacteurs : il n'existe pas de clones de GRANDES marques (Head, Rossignol, Wilson...). Il existe des marques pour toutes les bourses. C'est tout. Avec leurs avantages et leurs inconvénients. Comme l'ont dit certains, une technologie est une propriété intellectuelle; un brevet est déposé pour cela. Il y a légalement infraction voire vol avec les clones. De plus, et on me corrigera volontiers si je fais une erreur, mais le terme "clonage" n'est-il pas réservé qu'à la biologie ? : n'est-ce pas la reproduction d'un animal ou végétal à partir d'une cellule ? On semble bien loin des drivers. En bref, ce n'est que de la pâle copie, qui veut abuser le client par un look identique et un prix attractif, ni plus ni moins. Enfin prendre comme argument que les Américains sont envahis de clones est bien triste...et prétendre qu'on le sera bientôt, bien osé. Maintenant chacun est libre d'acheter ce qu'il veut et où bon lui semble.Non, ce qui m'exaspère vraiment, c'est l'entêtement d'Antonio à vouloir squatter le forum de manière fort impolie et ridicule (autopromotion genre "éléphant dans un magasin de porcelaine de Limoges made in ...China")

mercredi 4 décembre 2002

Quand une première compétition ?


Certains font du practice et s'entrainent pendant des mois pour faire leurs premières compétitions et scorer. Pour ma part, si j'avais attendu d'avoir un niveau de double bogey voire bogey (j'en connais...), je pense que j'y serais encore car on n'est jamais prêt ! C'est la compétition (vouloir faire mieux) qui m'a fait progresser avec tous les hauts et les bas imaginables. Mais je ne comprends pas que l'on veuille faire de la compétition pour voir où on en est !
On le sait à peu près, même quand on joue avec des copains, on voit bien comment on tape la balle et tout et tout.
Non, la compétition - à part l'officialisation de son niveau du moment - c'est pour moi, cette envie d'aller jusqu'au bout, se dépasser mentalement et physiquement parce que chaque coup compte finalement. Mais se faire plaisir surtout, ça c'est géant ! Que ce soit une perf ou une contre. Encore quelque chose que m'a appris le golf : l'humilité...

J'ai fait 51 points Stableford à ma 4° compétition et à l'index 44 et je peux dire que ça valait quelque chose ! J'avais franchi un palier... J'espère que ce n'était pas le dernier !

Le prochain objectif ? ne pas faire de croix...

Quand une première compétition ?


Certains font du practice et s'entrainent pendant des mois pour faire leurs premières compétitions et scorer. Pour ma part, si j'avais attendu d'avoir un niveau de double bogey voire bogey (j'en connais...), je pense que j'y serais encore car on n'est jamais prêt ! C'est la compétition (vouloir faire mieux) qui m'a fait progresser avec tous les hauts et les bas imaginables. Mais je ne comprends pas que l'on veuille faire de la compétition pour voir où on en est !
On le sait à peu près, même quand on joue avec des copains, on voit bien comment on tape la balle et tout et tout.
Non, la compétition - à part l'officialisation de son niveau du moment - c'est pour moi, cette envie d'aller jusqu'au bout, se dépasser mentalement et physiquement parce que chaque coup compte finalement. Mais se faire plaisir surtout, ça c'est géant ! Que ce soit une perf ou une contre. Encore quelque chose que m'a appris le golf : l'humilité...

J'ai fait 51 points Stableford à ma 4° compétition et à l'index 44 et je peux dire que ça valait quelque chose ! J'avais franchi un palier... J'espère que ce n'était pas le dernier !

Le prochain objectif ? ne pas faire de croix...

jeudi 14 novembre 2002

Distance au fer 7


Pour certains c'est 165 mètres... pour moi c'est plutôt 100-110m : il n'y a pas de justice ! mais quel que soit le club utilisé, la distance à parcourir est la même, donc où est le problème si on maîtrise bien ses clubs ? c'est sûr qu'un bois a plus de dispersion latérale qu'un petit fer et qu'un long fer, de par la longueur de son manche est moins maniable qu'un fer court, mais le swing est le même, n'est-ce pas ? je suis néanmoins toujours à la recherche de la distance...et j'ai beau me convaincre que ce n'est pas le plus important, les faits sont là.

Distance au fer 7


Pour certains c'est 165 mètres... pour moi c'est plutôt 100-110m : il n'y a pas de justice ! mais quel que soit le club utilisé, la distance à parcourir est la même, donc où est le problème si on maîtrise bien ses clubs ? c'est sûr qu'un bois a plus de dispersion latérale qu'un petit fer et qu'un long fer, de par la longueur de son manche est moins maniable qu'un fer court, mais le swing est le même, n'est-ce pas ? je suis néanmoins toujours à la recherche de la distance...et j'ai beau me convaincre que ce n'est pas le plus important, les faits sont là.

jeudi 7 novembre 2002

Jouer avec une femme


C'est souvent bien plus agréable que de jouer avec un homme : une femme a plus de savoir-vivre, plus de grâce et est beaucoup plus régulière aux départs; elles sont droites ! on ne doit pas aller chercher leurs balles dans le rough ou les bois. Une femme ne joue pas sur le registre du machisme et de l'ego alors que les hommes se vexent si facilement quand leur longueur est insuffisante; quand elles jouent mieux que vous, elles enlèvent souvent le drapeau vu qu'elles font de meilleures approches; parce qu'il n'y a pas que la force physique au golf, parce que une dame ou demoiselle est souvent de charmante compagnie; elles ne s'apesantissent pas sur le dérèglement de leur swing ou la calamité de leur score; elles prennent les choses avec bonne humeur et sagesse. Quand on joue mal on a au moins la consolation d'un sourire aimable au lieu d'un regard du genre "qu'est-ce que tu fais ici ? on perd du temps à chercher tes balles" c'est infiniment plus agréable d'être en compagnie féminine et le délié du swing féminin est autant un régal pour les yeux... que leurs tenues chatoyantes.

Jouer avec une femme


C'est souvent bien plus agréable que de jouer avec un homme : une femme a plus de savoir-vivre, plus de grâce et est beaucoup plus régulière aux départs; elles sont droites ! on ne doit pas aller chercher leurs balles dans le rough ou les bois. Une femme ne joue pas sur le registre du machisme et de l'ego alors que les hommes se vexent si facilement quand leur longueur est insuffisante; quand elles jouent mieux que vous, elles enlèvent souvent le drapeau vu qu'elles font de meilleures approches; parce qu'il n'y a pas que la force physique au golf, parce que une dame ou demoiselle est souvent de charmante compagnie; elles ne s'apesantissent pas sur le dérèglement de leur swing ou la calamité de leur score; elles prennent les choses avec bonne humeur et sagesse. Quand on joue mal on a au moins la consolation d'un sourire aimable au lieu d'un regard du genre "qu'est-ce que tu fais ici ? on perd du temps à chercher tes balles" c'est infiniment plus agréable d'être en compagnie féminine et le délié du swing féminin est autant un régal pour les yeux... que leurs tenues chatoyantes.

mardi 22 octobre 2002

Je suis court !


Je ne lance mon bois 3 qu'à 160 m-180m, je me suis dit qu'il faut que j'achète un driver pour gagner un coup en lançant le driver à 220 m au moins comme certains joueurs le font si bien ! Mais je ne suis que 33 d'index et on me le déconseille fortement ! Sniff, ça y est je suis perdu ! Je comprends plus rien ! Je vais les gagner où alors ces coups ? au putting, aux approches à moins de 80 m ? peut être, mais alors les bons joueurs on des drivers qui pètent le feu et moi je suis à peine aux 135 m sur un par 4 ? et je dois prendre encore un bois ou un long fer que je ne maîtrsie pas nécessairement et ça finit souvent dans un bunker ou un bois ou le rough. Comment faire pour avoir les greens en régulation ? Re-sniff... Je ne pèse que 51 kgs pour 1m60... Help me !! Merci

Je suis court !


Je ne lance mon bois 3 qu'à 160 m-180m, je me suis dit qu'il faut que j'achète un driver pour gagner un coup en lançant le driver à 220 m au moins comme certains joueurs le font si bien ! Mais je ne suis que 33 d'index et on me le déconseille fortement ! Sniff, ça y est je suis perdu ! Je comprends plus rien ! Je vais les gagner où alors ces coups ? au putting, aux approches à moins de 80 m ? peut être, mais alors les bons joueurs on des drivers qui pètent le feu et moi je suis à peine aux 135 m sur un par 4 ? et je dois prendre encore un bois ou un long fer que je ne maîtrsie pas nécessairement et ça finit souvent dans un bunker ou un bois ou le rough. Comment faire pour avoir les greens en régulation ? Re-sniff... Je ne pèse que 51 kgs pour 1m60... Help me !! Merci

samedi 19 octobre 2002

Le mental


Et oui, le mental.... ce fameux mental qui transcende ou qui lamine. Je suis passé par les affres d'un 20 Stableford (en 3° série faut le faire !!) et donc j'ai maintenant un moral à toute épreuve en me disant que maintenant je ne pourrais faire pire au niveau du jeu et du score, au niveau des drops et des bunkers et des trous d'eau !!!
Donc j'ai bien encadré cette mémorable journée. Sinon, le privilège de jouer une partie sympa (même en compétition avec des inconnus) alors que d'autres se gavent des Grand Prix de Formule 1 ou des séries américaines dominicales me fait penser que quoiqu'il arrive je suis BIEN.
Un petit truc personnel aussi pour évacuer cette soi-disante pression que j'emprunte à un sportif de renom et qui disait un jour en substance à un journaliste :"la pression, vous rigolez... est-ce que j'ai la pression ? Je n'ai pas le droit d'avoir la pression. Celui qui meurt de faim en Afrique ou celui qui fait la manche au coin de votre rue, lui il a la pression."
Moralité, soyons humbles face à ce que nous appelons le trac ou la peur. On a la chance de faire un des plus beaux sports dans des cadres magnifiques, le reste doit avoir bien plus d'importance à mes yeux.
Ce n'est pas pour autant que je perfe à chaque compet !!! mais c'est juste pour essayer de ne pas m'apesantir sur ma pauvre carte ou mon slice !
D'où mon incompréhension face à ceux qui jettent leur driver à quelques milliers de francs...

Le mental


Et oui, le mental.... ce fameux mental qui transcende ou qui lamine. Je suis passé par les affres d'un 20 Stableford (en 3° série faut le faire !!) et donc j'ai maintenant un moral à toute épreuve en me disant que maintenant je ne pourrais faire pire au niveau du jeu et du score, au niveau des drops et des bunkers et des trous d'eau !!!
Donc j'ai bien encadré cette mémorable journée. Sinon, le privilège de jouer une partie sympa (même en compétition avec des inconnus) alors que d'autres se gavent des Grand Prix de Formule 1 ou des séries américaines dominicales me fait penser que quoiqu'il arrive je suis BIEN.
Un petit truc personnel aussi pour évacuer cette soi-disante pression que j'emprunte à un sportif de renom et qui disait un jour en substance à un journaliste :"la pression, vous rigolez... est-ce que j'ai la pression ? Je n'ai pas le droit d'avoir la pression. Celui qui meurt de faim en Afrique ou celui qui fait la manche au coin de votre rue, lui il a la pression."
Moralité, soyons humbles face à ce que nous appelons le trac ou la peur. On a la chance de faire un des plus beaux sports dans des cadres magnifiques, le reste doit avoir bien plus d'importance à mes yeux.
Ce n'est pas pour autant que je perfe à chaque compet !!! mais c'est juste pour essayer de ne pas m'apesantir sur ma pauvre carte ou mon slice !
D'où mon incompréhension face à ceux qui jettent leur driver à quelques milliers de francs...

jeudi 17 octobre 2002

Cette recherche intérieure



Un golfeur se définit souvent par rapport à ses distances, et ses distances au drive. Il n'est pas rare que ce soit le seul élément qu'il retienne de sa partie ! j'avoue humblement que ma distance au départ (fer 2 ou 3 ou bois 3 selon les humeurs) est indécemment courte et parfois pimentée d'un slice venu de je ne sais où... d'où le titre de mon sujet : avez-vous déjà vécu comme moi les affres de la journée qui aurait mieux fait de ne pas exister ? ou bien cette marche triomphale vers la présidente du club qui vous remet un prix ? ou bien encore cette solitude pesante à la recherche de la petite balle perdue dans le rough épais ? ou bien cette pitié pour votre partenaire qui n'est décidèment pas dans un bon jour ? ou cette appréhension à dire quel score vous avez fait ce jour là ? ou ce sourire béat parce que tout vous réussissait aujourd'hui ? bref, cette richesse intérieure, ce vécu avec soi-même, face à soi-même et en soi-même, c'est cela que j'aime le plus au golf.
Plus que le lancer à x mètres, c'est cette recherche personnelle de l'exécrable au magnifique, du sublime au lamentable. C'est cela que je remets personnellement en jeu chaque dimanche que Dieu veut bien me donner la joie de vivre. Et quand le lundi matin, je vois mes collègues qui ne savent pas à quel point la lutte a été intense, à quel point le gouffre a été béant, je m'aperçois avec bonheur et tristesse que je ne cesserai jamais d'apprendre à me connaître, l'alpha et l'omega de toute une vie concentrés dans une petite sphère blanche, porteuse des espoirs les plus vains, véhicule de notre imaginaire et de notre déraison.
Au 19° trou, nous continuerons à nous "déchirer" sur notre potentiel physique, l'essentiel dans le golf reste et demeure - à mon goût - cette tempête dramatique qui se joue au trou N°1, ce relâchement béni qui nous attend au mât du trou N°18. Toute une vie de sentiments qui s'est jouée en quelques heures, sur un beau tapis verdoyant et parsemé d'embûches, c'est surtout pour cela que le golf restera pour moi ce défi permanent, cette quête de l'insaissable, du futile et de l'éphémère.

Cette recherche intérieure



Un golfeur se définit souvent par rapport à ses distances, et ses distances au drive. Il n'est pas rare que ce soit le seul élément qu'il retienne de sa partie ! j'avoue humblement que ma distance au départ (fer 2 ou 3 ou bois 3 selon les humeurs) est indécemment courte et parfois pimentée d'un slice venu de je ne sais où... d'où le titre de mon sujet : avez-vous déjà vécu comme moi les affres de la journée qui aurait mieux fait de ne pas exister ? ou bien cette marche triomphale vers la présidente du club qui vous remet un prix ? ou bien encore cette solitude pesante à la recherche de la petite balle perdue dans le rough épais ? ou bien cette pitié pour votre partenaire qui n'est décidèment pas dans un bon jour ? ou cette appréhension à dire quel score vous avez fait ce jour là ? ou ce sourire béat parce que tout vous réussissait aujourd'hui ? bref, cette richesse intérieure, ce vécu avec soi-même, face à soi-même et en soi-même, c'est cela que j'aime le plus au golf.
Plus que le lancer à x mètres, c'est cette recherche personnelle de l'exécrable au magnifique, du sublime au lamentable. C'est cela que je remets personnellement en jeu chaque dimanche que Dieu veut bien me donner la joie de vivre. Et quand le lundi matin, je vois mes collègues qui ne savent pas à quel point la lutte a été intense, à quel point le gouffre a été béant, je m'aperçois avec bonheur et tristesse que je ne cesserai jamais d'apprendre à me connaître, l'alpha et l'omega de toute une vie concentrés dans une petite sphère blanche, porteuse des espoirs les plus vains, véhicule de notre imaginaire et de notre déraison.
Au 19° trou, nous continuerons à nous "déchirer" sur notre potentiel physique, l'essentiel dans le golf reste et demeure - à mon goût - cette tempête dramatique qui se joue au trou N°1, ce relâchement béni qui nous attend au mât du trou N°18. Toute une vie de sentiments qui s'est jouée en quelques heures, sur un beau tapis verdoyant et parsemé d'embûches, c'est surtout pour cela que le golf restera pour moi ce défi permanent, cette quête de l'insaissable, du futile et de l'éphémère.

dimanche 6 octobre 2002

La plus belle contre-perfomance


Lors de la Coupe Coiffard, un joaillier de Troyes, je suis revenu avec 20 pts Stableford (corrigés à 19 avec le SSJ) avec un index de départ de 32.7...
C'était du n'importe quoi, mais on a eu de belles crises de fou-rires avec mes 2 partenaires du genre drive de 1 cm (balle juste tombée du tee sous l'effet du courant d'air) ou plouf plouf à répétitions ou encore visite de 3 bunkers de suite sur le même trou... On s'est tous payé un coup à boire ce jour-là. C'était mémorablement bon pour le moral de toucher le fond dans la décontraction et la bonne humeur ! Une de mes "meilleures" journées de plaisir golfique assurément sans aucune ironie.
Et ce n'était pas dû aux conditions climatiques, juste à mon jeu, en pleine purée de poix !

La plus belle contre-perfomance


Lors de la Coupe Coiffard, un joaillier de Troyes, je suis revenu avec 20 pts Stableford (corrigés à 19 avec le SSJ) avec un index de départ de 32.7...
C'était du n'importe quoi, mais on a eu de belles crises de fou-rires avec mes 2 partenaires du genre drive de 1 cm (balle juste tombée du tee sous l'effet du courant d'air) ou plouf plouf à répétitions ou encore visite de 3 bunkers de suite sur le même trou... On s'est tous payé un coup à boire ce jour-là. C'était mémorablement bon pour le moral de toucher le fond dans la décontraction et la bonne humeur ! Une de mes "meilleures" journées de plaisir golfique assurément sans aucune ironie.
Et ce n'était pas dû aux conditions climatiques, juste à mon jeu, en pleine purée de poix !

mercredi 2 octobre 2002

Pro, magazines ou autodidactisme ?


A mes tous débuts, j'ai pris 4 heures avec un Pro qui ne m'ont servi à rien, car je n'avais aucun plaisir et aucune sensation. Le langage me paraissait compliqué, les concepts techniques rébarbatifs et osbcurs. Et surtout, les progrès n'étaient pas significatifs. Les balles continuaient à me narguer imperturbables. Des personnes attentionnées et des amis m'ont donné des conseils qui m'ont fait un peu plus progresser, agrémentés en cela par des bases théoriques de Golf Magazine.
J'ai malgré tout commencé les compétitions en août 2002 pour me forcer à m'améliorer, étant certain que la quantification de mon score officiel me forcerait à fournir davantage d'efforts. Puis j'ai eu la chance de rencontrer Renaud un Pro en stage (qui va "malheureusement" officier à Strasbourg) et là le DECLIC a eu lieu : sensations, plaisir et d'immenses possibilités en moi à découvrir sans parler de la confiance acquise !
C'est simple, sa première leçon a été de me mettre dos au drapeau et d'y envoyer quand même la balle !!
"N'oublie jamais ça. Un club, une balle, un objectif. Tout faire pour amener la tête de club dans la direction de l'objectif. Le reste est supeflu."
En ce début d'octobre 2002 je suis 32 et je ne compte pas m'arrêter là, mais j'aime bien reprendre des articles de base sur des choses que j'ai tendance à oublier ou qui expliquent le pourquoi et le comment. En bref, mon petit parcours m'indique qu'un pro enthousiaste et pédagogue est irremplaçable mais qu'il peut être complété par des rudiments théoriques développés dans des bouquins et magazines ne serait-ce que pour comprendre; surtout quand on est livré un beau jour de compétition à soi-même avec un slice dévastateur ou confronté à un vent soufflant en rafales ou à un putting fébrile. Quel beau sport en tout cas alliant technique, mental et abnégation !!

Pro, magazines ou autodidactisme ?


A mes tous débuts, j'ai pris 4 heures avec un Pro qui ne m'ont servi à rien, car je n'avais aucun plaisir et aucune sensation. Le langage me paraissait compliqué, les concepts techniques rébarbatifs et osbcurs. Et surtout, les progrès n'étaient pas significatifs. Les balles continuaient à me narguer imperturbables. Des personnes attentionnées et des amis m'ont donné des conseils qui m'ont fait un peu plus progresser, agrémentés en cela par des bases théoriques de Golf Magazine.
J'ai malgré tout commencé les compétitions en août 2002 pour me forcer à m'améliorer, étant certain que la quantification de mon score officiel me forcerait à fournir davantage d'efforts. Puis j'ai eu la chance de rencontrer Renaud un Pro en stage (qui va "malheureusement" officier à Strasbourg) et là le DECLIC a eu lieu : sensations, plaisir et d'immenses possibilités en moi à découvrir sans parler de la confiance acquise !
C'est simple, sa première leçon a été de me mettre dos au drapeau et d'y envoyer quand même la balle !!
"N'oublie jamais ça. Un club, une balle, un objectif. Tout faire pour amener la tête de club dans la direction de l'objectif. Le reste est supeflu."
En ce début d'octobre 2002 je suis 32 et je ne compte pas m'arrêter là, mais j'aime bien reprendre des articles de base sur des choses que j'ai tendance à oublier ou qui expliquent le pourquoi et le comment. En bref, mon petit parcours m'indique qu'un pro enthousiaste et pédagogue est irremplaçable mais qu'il peut être complété par des rudiments théoriques développés dans des bouquins et magazines ne serait-ce que pour comprendre; surtout quand on est livré un beau jour de compétition à soi-même avec un slice dévastateur ou confronté à un vent soufflant en rafales ou à un putting fébrile. Quel beau sport en tout cas alliant technique, mental et abnégation !!

Harmonie naturelle


Loin de la technique, le golf est une occasion de redécouvrir la nature, des coins privilégiés au milieu d'arbres centenaires, de pinèdes enbaumées, des fairways luxuriants, le long de plans d'eau paisibles; c'est une véritable communion qui s'instaure, une oasis de quiétude seulement troublée par les chants d'oiseaux et le bruit des balles. Le golf apprend à respecter Dame Nature et ses bienfaits.Posted by Hello

Harmonie naturelle


Loin de la technique, le golf est une occasion de redécouvrir la nature, des coins privilégiés au milieu d'arbres centenaires, de pinèdes enbaumées, des fairways luxuriants, le long de plans d'eau paisibles; c'est une véritable communion qui s'instaure, une oasis de quiétude seulement troublée par les chants d'oiseaux et le bruit des balles. Le golf apprend à respecter Dame Nature et ses bienfaits.Posted by Hello

vendredi 20 septembre 2002


Jouer au golf, c'est prendre une petite balle blanche chargée de tous nos espoirs, la placer sur une petite rampe de lancement communèment appelée "tee" et l'envoyer si possible sur un tapis vert, moelleux et accueillant dénommée "fairway";en essayant d'éviter les embûches du parcours tels les obstacles d'eau en tout genre, comme les étangs, les ruisseaux, mais aussi les étendues inhospitalières pour les poignets et gourmandes en temps perdu appelées "roughs"; en essayant de contourner les arbres par le dessus ou le dessous, les ravins et parfois les longues traînées de sable fin appelées "bunkers" qui peuvent certes rappeler de doux moments estivaux mais qui peuvent devenir un vrai cauchemar si on les déteste.
Jouer au golf c'est tenter d'atteindre un but enfoui au plus profond de soi, un destin à prendre en main, des péripéties intérieures à surmonter. C'est une aventure de 4 heures et plus parfois qui vous emmène au plus profond de ses émotions; c'est une tragédie comique qui se joue en 18 actes. Jouer au golf, c'est éventuellement atteindre une cible signalée par un drapeau fièrement planté sur une moquette verte d'où son nom - le "green" - en un nombre de coups minimum mais cela n'est à mon avis qu'accessoire.(Photo : Josh Fassbind)

Jouer au golf, c'est prendre une petite balle blanche chargée de tous nos espoirs, la placer sur une petite rampe de lancement communèment appelée "tee" et l'envoyer si possible sur un tapis vert, moelleux et accueillant dénommée "fairway";en essayant d'éviter les embûches du parcours tels les obstacles d'eau en tout genre, comme les étangs, les ruisseaux, mais aussi les étendues inhospitalières pour les poignets et gourmandes en temps perdu appelées "roughs"; en essayant de contourner les arbres par le dessus ou le dessous, les ravins et parfois les longues traînées de sable fin appelées "bunkers" qui peuvent certes rappeler de doux moments estivaux mais qui peuvent devenir un vrai cauchemar si on les déteste.
Jouer au golf c'est tenter d'atteindre un but enfoui au plus profond de soi, un destin à prendre en main, des péripéties intérieures à surmonter. C'est une aventure de 4 heures et plus parfois qui vous emmène au plus profond de ses émotions; c'est une tragédie comique qui se joue en 18 actes. Jouer au golf, c'est éventuellement atteindre une cible signalée par un drapeau fièrement planté sur une moquette verte d'où son nom - le "green" - en un nombre de coups minimum mais cela n'est à mon avis qu'accessoire.(Photo : Josh Fassbind)

mardi 10 septembre 2002

Travailler le swing pour être plus régulier

Un swing dure quelques dixièmes de seconde; débutant, amateur ou pro, c'est toujours le fruit de longues heures d'entraînement, un travail de réflexion au practice, à la vidéo, avec des bouquins, des magazines, avec un pro évidemment. Envoyer une balle, c'est un résultat espéré, un objectif à atteindre; la perfection n'existe pas ou si rarement, sur un seul coup. On croit avoir saisi l'essence du golf, mais hélas, le coup d'après n'est plus le même. L'indicible plaisir ne se répète pas souvent. C'est cela la magie du golf, on y va souvent pour trouver quelque chose d'éphémère. (Photo : Alexis Orloff)Posted by Hello

Travailler le swing pour être plus régulier

Un swing dure quelques dixièmes de seconde; débutant, amateur ou pro, c'est toujours le fruit de longues heures d'entraînement, un travail de réflexion au practice, à la vidéo, avec des bouquins, des magazines, avec un pro évidemment. Envoyer une balle, c'est un résultat espéré, un objectif à atteindre; la perfection n'existe pas ou si rarement, sur un seul coup. On croit avoir saisi l'essence du golf, mais hélas, le coup d'après n'est plus le même. L'indicible plaisir ne se répète pas souvent. C'est cela la magie du golf, on y va souvent pour trouver quelque chose d'éphémère. (Photo : Alexis Orloff)Posted by Hello

mardi 30 avril 2002



Balles de practice qui attendent sagement d'être envoyées ! pas le cas au début... elles sont évitées (sale tapis qui fait mal !) bonjour les air shots... topées avec un bruit sourd qui fait mal aux poignets...
Elles ont l'air de vous narguer car elles n'attendent que ça, d'être envoyées le plus loin et le plus haut possible. Seulement, certaines rient d'avance quand le débutant les fait rouler devant lui, parfois derière lui, rebondissent pour s'imobiliser quelques mètres devant. Leur durée de vie est limitée et il n'y a rien de plus rageant que de les voir mourir ici et là à vos pieds quand à côté un jeune golfeur sans scrupule les envoie bien au-delà de nos rêves les plus fous dans un silence étonnant et une répétitivité surprenantes. Comment font-ils, comment font-elles ?


Balles de practice qui attendent sagement d'être envoyées ! pas le cas au début... elles sont évitées (sale tapis qui fait mal !) bonjour les air shots... topées avec un bruit sourd qui fait mal aux poignets...
Elles ont l'air de vous narguer car elles n'attendent que ça, d'être envoyées le plus loin et le plus haut possible. Seulement, certaines rient d'avance quand le débutant les fait rouler devant lui, parfois derière lui, rebondissent pour s'imobiliser quelques mètres devant. Leur durée de vie est limitée et il n'y a rien de plus rageant que de les voir mourir ici et là à vos pieds quand à côté un jeune golfeur sans scrupule les envoie bien au-delà de nos rêves les plus fous dans un silence étonnant et une répétitivité surprenantes. Comment font-ils, comment font-elles ?

jeudi 25 avril 2002

La première fois




J'ai débuté le golf en avril 2002. Mon père avait déjà attrapé le virus depuis quelques années et ne voulant plus faire de compétitions de tennis, j'ai essayé de toucher cette petite balle de practice à Montpellier Massane pendant les vacances de Pâques. Quasiment impossible, le club passait au-dessus de la balle. A vouloir la faire monter, on veut la cueillir, on plie les bras et rien ne se passe, sauf que l'on voit les regards amusés des golfeurs chevronnés... et on a l'air si bête !
De retour dans l'Aube, je suis allé au golf de La forêt d'orient avec Sébastien, un copain motard pour une initiation et voir si cette petite balle allait me résister longtemps ...

La première fois




J'ai débuté le golf en avril 2002. Mon père avait déjà attrapé le virus depuis quelques années et ne voulant plus faire de compétitions de tennis, j'ai essayé de toucher cette petite balle de practice à Montpellier Massane pendant les vacances de Pâques. Quasiment impossible, le club passait au-dessus de la balle. A vouloir la faire monter, on veut la cueillir, on plie les bras et rien ne se passe, sauf que l'on voit les regards amusés des golfeurs chevronnés... et on a l'air si bête !
De retour dans l'Aube, je suis allé au golf de La forêt d'orient avec Sébastien, un copain motard pour une initiation et voir si cette petite balle allait me résister longtemps ...

mercredi 6 mars 2002

Roller et sensations garanties




Il existe un sport extrême à la portée de tous, c'est le roller ! (le skate c'est trop dangereux !) pourquoi extrême ? parce qu'entre la simple promenade sur une digue et la grande rampe de 4m50 de hauteur il y a tout un monde; un monde fait de figures, de sauts, de slides. Petit à petit on progresse, on s'enhardit, on essaie de nouvelles figures... mais rien ne vaut une rampe pour l'adrénaline !


Là c'était au skate park de Mauguio (34) et c'était pas génial, tout en métal... C'est vrai le soul est un peu raide... et bonjour les chutes sous le soleil du sud ! Heureusement il y avait un skate park géant à quelques kilomètres, juste à côté du Zénith e Montpellier ! mais là c'était plutôt pour les pros !