mercredi 22 janvier 2003

Sensations après le pendule


120 balles de practice aujourd'hui et en "essayant" le pendule, la balle part effectivement sans heurt et haut .. mais pas loin. Bon l'avantage, c'est que je ne force pas et que la balle part avec un bruit feutré. 100 m au fer 7 (Big Bertha Callaway), c'est trop juste quand même ! Alors avec le pendule je la trouve où la puissance ?
Zebulon me dit de garder mes appuis au sol et d'essayer de sentir à quel moment je peux ajouter l'impulsion à mon club avec mon bras droit. Si on regardes Ernie Els, il traverse la balle avec son club et c'est le poids de la tête de club qui sous la gravité et l'accélération emmène les bras vers le finish.
Le finish se fait tout seul, il n'y a pas à le provoquer. Si c'est le cas c'est qu'il y a quelque chose qui ne va pas avant.
Je crois pas que je ne cherche pas à le provoquer, j'arrive face à la cible quasi naturellement sans y penser.
En fait si, mes coups les plus fluides viennent quand je pense à la position finish et tout se met en place. C'est quand je cherche de la distance (que je ne trouve évidemment pas) que je fais le sagouin...et là le finish est désastreux car je veux guider mon club comme sur la photo.
Je vais esssayer de ressentir cette impulsion du bras droit comme le dit Zebulon. Mais tel un bras de pendule comtoise, mes bras sont tendus pendant toute la descente car les poignets se décassent dès le début du downswing. Je n'ai pas ce fameux retard et quand je le provoque, c'est la catastrophe.

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