Série callaway Big Bertha. En essayant le concept du pendule, la balle part haut et sans heurt mais pas très loin.
Selon Zebulon, à la montée, le bras gauche est collé à la poitrine et tout monte d'un bloc : l'épaule gauche, le bras gauche, poignet, main, club, ne font qu'une seule entité. Les pros ne font rien avec leur bras, c'est leur amorce de retour (soit par la reprise d'appui sur leur jambe gauche, soit par leur rappel des hanches) qui fait que leur bras et tout ce qui va avec, va se trouver momentanement en retard mais comme ma ficelle à la bouteille, va accélérer et passer prendre la balle tandis que les appuis au sol sont fermes, seulement la hanche droite est déjà ouverte vers la cible. Mais attention il ne faut pas glisser latéralement avec les hanches.
Il faut que j'essaie de sentir à quel moment je dois ajouter l'impulsion à mon club avec le bras droit. Comme Ernie Els, il faut traverser la balle avec le club et le poids de la tête emmène les bras vers le finish. Il n'y a pas à le provoquer. Il faut penser à projeter la tête de club vers l'objectif sans penser à la balle.
L'image mentale du joueur est nécessaire pour ne pas penser distance et ne pas se contracter. L'avantage de se construire une image mentale d'un de ses joueurs préféré et de jouer cette image quand on swingue est que cette approche est très valorisante pour ceux qui se sous-estiment dans leur possibilité de bien jouer et cela occupe le mental.
Une chose à avoir à l'esprit, c'est de vouloir envoyer la tete de club trop tôt vers la balle avec a la clé des hooks et des pulls. En fait il faut penser à envoyer le grip vers la balle.
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