vendredi 27 décembre 2002

Que cherche-t-on dans le golf ?


est-ce un sport ? en quoi est-il différent ? est-ce parce qu'il se pratique dans un environnement naturel ? est-ce alors une simple marche au milieu des bois ? des sensations écologiques ? un défi sportif ou une reonnaissance sociale ? des sensations ? la quête du Graal, ou tout simplement nous-mêmes ? qu'est-ce qui nous pousse à arpenter les parcours alors qu'il n'y a pas de compétition, d'enjeu, de spectateur, juste les bois et les rares oiseaux ? Quelle recherche faisons-nous ? quelles attentes avons-nous ?
Les réponses sont innombrables et si diverses !
Certains y cherchent un sport où on lutte contre soi-même où réussir au golf consiste à rompre le cercle vicieux du stress, du doute. Il suffit d'être en accord avec soi-même. Le golf est aussi le sport où le plaisir narcissique de progresser et le plaisir masochiste de régresser sont omniprésents.
En match play, on lutte contre l'adversaire mentalement et non physiquement à coup de drives sur le fairway, d'approches précises et de putts meurtriers.
D'autres y cherchent une drogue, une insatisfaction permanente. On y vient et on y revient sans arrêt. C'est une quête de perfection sans fin : la trajectoire, la sensation du contact idéal entre la face de club et la balle. Quand les conditions climatiques sont rébarbatives, il y a ce quelque chose de profondément humain et ancré dans nos âmes que nous cherchons tous et que nous ne trouverons peut-être jamais. Le golf est un sport qui allie action et réflexion intérieure. Il apprend l'humilité, la modestie, le calme.

Que cherche-t-on dans le golf ?


est-ce un sport ? en quoi est-il différent ? est-ce parce qu'il se pratique dans un environnement naturel ? est-ce alors une simple marche au milieu des bois ? des sensations écologiques ? un défi sportif ou une reonnaissance sociale ? des sensations ? la quête du Graal, ou tout simplement nous-mêmes ? qu'est-ce qui nous pousse à arpenter les parcours alors qu'il n'y a pas de compétition, d'enjeu, de spectateur, juste les bois et les rares oiseaux ? Quelle recherche faisons-nous ? quelles attentes avons-nous ?
Les réponses sont innombrables et si diverses !
Certains y cherchent un sport où on lutte contre soi-même où réussir au golf consiste à rompre le cercle vicieux du stress, du doute. Il suffit d'être en accord avec soi-même. Le golf est aussi le sport où le plaisir narcissique de progresser et le plaisir masochiste de régresser sont omniprésents.
En match play, on lutte contre l'adversaire mentalement et non physiquement à coup de drives sur le fairway, d'approches précises et de putts meurtriers.
D'autres y cherchent une drogue, une insatisfaction permanente. On y vient et on y revient sans arrêt. C'est une quête de perfection sans fin : la trajectoire, la sensation du contact idéal entre la face de club et la balle. Quand les conditions climatiques sont rébarbatives, il y a ce quelque chose de profondément humain et ancré dans nos âmes que nous cherchons tous et que nous ne trouverons peut-être jamais. Le golf est un sport qui allie action et réflexion intérieure. Il apprend l'humilité, la modestie, le calme.

mercredi 25 décembre 2002

Principes de base du swing



Un bon swing ne peut se faire que si l'on respecte quelques principes fondamentaux et ce dès le début : GASP : grip, appuis, stance, posture. Pour un droitier, c'est la jambe droite qui sert d'appui ferme au sol.
Il faut obtenir en fin de backswing une extension du torse par rapport aux hanches, bien positionner le club, la tête du joueur restant à son emplacement (mais elle peut tourner un peu sur elle-même) pour que la colonne vertébrale reste droite pendant la rotation. et surtout pour que les angles de la colonne vertébrale restent constants pendant toute l'éxécution du swing (le fameux constant spine angle).
Le downswing doit s'exécuter avec un appui ferme au sol assuré par la jambe gauche pour un droitier, d'où la nécessité du "transfert du poids" du pied droit vers le gauche en fin de backswing et la nécessité de se retrouver avec lea boucle de la ceinture face à l'objectif. Il s'agit, avec la simple rotation tranquille des épaules, de placer le club dans le bon plan (généré par les fondamentaux) puis de laisser tomber le bras gauche devant sa poitrine en ayant le coude gauche le plus près possible de la hanche droite pour retarder le plus possible l'action de la tête de club et ainsi favoriser une plus grande vitesse à l'impact. Tout en tournant le corps de l'arrière vers l'avant, et en laissant la gravité faire, la tête de club va subir la force centrifuge avec une extension naturelle des bras si le grip est léger et s'il y a relâchement des bras l'action accentuée du torse. L'effacement de la hanche gauche va laisser la place libre aux bras pour lancer le club à travers la balle.
L'armement plus prononcé des poignets (dans un plan vertical par exemple) done à la balle une trajectoire plus haute, un roulement de l'avant-bras droit sur le gauche peut favoriser une trajectoire de draw etc..

Principes de base du swing



Un bon swing ne peut se faire que si l'on respecte quelques principes fondamentaux et ce dès le début : GASP : grip, appuis, stance, posture. Pour un droitier, c'est la jambe droite qui sert d'appui ferme au sol.
Il faut obtenir en fin de backswing une extension du torse par rapport aux hanches, bien positionner le club, la tête du joueur restant à son emplacement (mais elle peut tourner un peu sur elle-même) pour que la colonne vertébrale reste droite pendant la rotation. et surtout pour que les angles de la colonne vertébrale restent constants pendant toute l'éxécution du swing (le fameux constant spine angle).
Le downswing doit s'exécuter avec un appui ferme au sol assuré par la jambe gauche pour un droitier, d'où la nécessité du "transfert du poids" du pied droit vers le gauche en fin de backswing et la nécessité de se retrouver avec lea boucle de la ceinture face à l'objectif. Il s'agit, avec la simple rotation tranquille des épaules, de placer le club dans le bon plan (généré par les fondamentaux) puis de laisser tomber le bras gauche devant sa poitrine en ayant le coude gauche le plus près possible de la hanche droite pour retarder le plus possible l'action de la tête de club et ainsi favoriser une plus grande vitesse à l'impact. Tout en tournant le corps de l'arrière vers l'avant, et en laissant la gravité faire, la tête de club va subir la force centrifuge avec une extension naturelle des bras si le grip est léger et s'il y a relâchement des bras l'action accentuée du torse. L'effacement de la hanche gauche va laisser la place libre aux bras pour lancer le club à travers la balle.
L'armement plus prononcé des poignets (dans un plan vertical par exemple) done à la balle une trajectoire plus haute, un roulement de l'avant-bras droit sur le gauche peut favoriser une trajectoire de draw etc..

lundi 23 décembre 2002

Bilan de l'année 2002


Pâques 2002 : j'essaie de taper une balle sur le practice de Montpellier Massane avec mon père : 20 m maxi.
De retour dans l'Aube en Champagne, je vais 3 fois au practice de Troyes-forêt d'Orient : entre 30 et 50 m. Je ne sais pour quelle raison, je commande une série Big Bertha sur un catalogue d'une enseigne spécialisée sport. Je ne connaissais même pas Callaway de nom. Je prends 4 heures de cours pour les bases, la licence FFGolf.
Juillet 2002 : je découvre pour la première fois ce qu'est faire voler une balle (70 m). Le grand chêne mort du practice de Montpellier Massane me sert de tremplin à mes rêves : faire passer la balle par-dessus. Elle semble suspendue en l'air et c'est magique. J'admire un Allemand - index 37 - car ses balles sont si hautes...
Premiers parcours, premiers émois. C'est magique d'avoir un but, plutôt que de taper dans la balle "bêtement. Je dévore les pages techniques de Golf Magazine. Premières hécatombes, faut racheter des sacs de balles.
Août 2002 : première compétition. Hauts et bas s'entremèlent, espoirs et déceptions se croisent au fil des compétitions.
Début novembre 2002 : je suis 32.6. Je découvre le Forum de la FFG, et tous ses membres, une communauté fervente, le siège de la Fédération, je rencontre Hubert Chesneau, le Directeur Général charismatique et Alexis Orloff, un journaliste érudit et un sage... J'apprends à utiliser un bois 3, un driver. J'arrive à 180 m dans les meilleurs jours.
Quelle année 2002 !!
2003 sera difficile à égaler en émotions aussi nouvelles et diverses, mais j'espère qu'elle sera au moins aussi riche et fertile en évènements. L'aventure continue.

Bilan de l'année 2002


Pâques 2002 : j'essaie de taper une balle sur le practice de Montpellier Massane avec mon père : 20 m maxi.
De retour dans l'Aube en Champagne, je vais 3 fois au practice de Troyes-forêt d'Orient : entre 30 et 50 m. Je ne sais pour quelle raison, je commande une série Big Bertha sur un catalogue d'une enseigne spécialisée sport. Je ne connaissais même pas Callaway de nom. Je prends 4 heures de cours pour les bases, la licence FFGolf.
Juillet 2002 : je découvre pour la première fois ce qu'est faire voler une balle (70 m). Le grand chêne mort du practice de Montpellier Massane me sert de tremplin à mes rêves : faire passer la balle par-dessus. Elle semble suspendue en l'air et c'est magique. J'admire un Allemand - index 37 - car ses balles sont si hautes...
Premiers parcours, premiers émois. C'est magique d'avoir un but, plutôt que de taper dans la balle "bêtement. Je dévore les pages techniques de Golf Magazine. Premières hécatombes, faut racheter des sacs de balles.
Août 2002 : première compétition. Hauts et bas s'entremèlent, espoirs et déceptions se croisent au fil des compétitions.
Début novembre 2002 : je suis 32.6. Je découvre le Forum de la FFG, et tous ses membres, une communauté fervente, le siège de la Fédération, je rencontre Hubert Chesneau, le Directeur Général charismatique et Alexis Orloff, un journaliste érudit et un sage... J'apprends à utiliser un bois 3, un driver. J'arrive à 180 m dans les meilleurs jours.
Quelle année 2002 !!
2003 sera difficile à égaler en émotions aussi nouvelles et diverses, mais j'espère qu'elle sera au moins aussi riche et fertile en évènements. L'aventure continue.

dimanche 22 décembre 2002

500ième post sur le forum FFG


Pour mon 500ième post et ma 4° étoile, je ne pouvais que constater que je suis devenu un Homo Forumus, que le forum est un népenthès (selon Alexis Orloff) car il combine trois drogues : l'informatique, la communication et le golf. Docteur Alexis, est-ce grave ? M'en remettrai-je ? Je vous confesse que parfois quand je poste à des heures indues, je ne suis plus vraiment moi-même, un tiers homme, un tiers golfeur, un tiers illuminé philosophe. Le tout très fatigué (et fatiguant ?)
Le forum FFG m'a bien accueilli, il n'y a pas si longtemps (moins de 3 mois) Il s'en est passé des choses en 500 posts, surtout dernièrement. Mais mon meilleur souvenir c'est d'avoir rencontré la plupart des forumsites en chair et en os au Tire-bouchon, avoir pu découvrir qu'ils étaient d'authentiques champion(ne)s passionné(e)s.
Alors quand s'affichera la 4° étoile, ce seront 4 étoiles de remerciements pour m'avoir supporté. Je promets que dans les 500 prochains posts, je... resterai moi-même, un petit tigre qui rugira encore de plaisir.