mercredi 2 octobre 2002

Pro, magazines ou autodidactisme ?


A mes tous débuts, j'ai pris 4 heures avec un Pro qui ne m'ont servi à rien, car je n'avais aucun plaisir et aucune sensation. Le langage me paraissait compliqué, les concepts techniques rébarbatifs et osbcurs. Et surtout, les progrès n'étaient pas significatifs. Les balles continuaient à me narguer imperturbables. Des personnes attentionnées et des amis m'ont donné des conseils qui m'ont fait un peu plus progresser, agrémentés en cela par des bases théoriques de Golf Magazine.
J'ai malgré tout commencé les compétitions en août 2002 pour me forcer à m'améliorer, étant certain que la quantification de mon score officiel me forcerait à fournir davantage d'efforts. Puis j'ai eu la chance de rencontrer Renaud un Pro en stage (qui va "malheureusement" officier à Strasbourg) et là le DECLIC a eu lieu : sensations, plaisir et d'immenses possibilités en moi à découvrir sans parler de la confiance acquise !
C'est simple, sa première leçon a été de me mettre dos au drapeau et d'y envoyer quand même la balle !!
"N'oublie jamais ça. Un club, une balle, un objectif. Tout faire pour amener la tête de club dans la direction de l'objectif. Le reste est supeflu."
En ce début d'octobre 2002 je suis 32 et je ne compte pas m'arrêter là, mais j'aime bien reprendre des articles de base sur des choses que j'ai tendance à oublier ou qui expliquent le pourquoi et le comment. En bref, mon petit parcours m'indique qu'un pro enthousiaste et pédagogue est irremplaçable mais qu'il peut être complété par des rudiments théoriques développés dans des bouquins et magazines ne serait-ce que pour comprendre; surtout quand on est livré un beau jour de compétition à soi-même avec un slice dévastateur ou confronté à un vent soufflant en rafales ou à un putting fébrile. Quel beau sport en tout cas alliant technique, mental et abnégation !!

Pro, magazines ou autodidactisme ?


A mes tous débuts, j'ai pris 4 heures avec un Pro qui ne m'ont servi à rien, car je n'avais aucun plaisir et aucune sensation. Le langage me paraissait compliqué, les concepts techniques rébarbatifs et osbcurs. Et surtout, les progrès n'étaient pas significatifs. Les balles continuaient à me narguer imperturbables. Des personnes attentionnées et des amis m'ont donné des conseils qui m'ont fait un peu plus progresser, agrémentés en cela par des bases théoriques de Golf Magazine.
J'ai malgré tout commencé les compétitions en août 2002 pour me forcer à m'améliorer, étant certain que la quantification de mon score officiel me forcerait à fournir davantage d'efforts. Puis j'ai eu la chance de rencontrer Renaud un Pro en stage (qui va "malheureusement" officier à Strasbourg) et là le DECLIC a eu lieu : sensations, plaisir et d'immenses possibilités en moi à découvrir sans parler de la confiance acquise !
C'est simple, sa première leçon a été de me mettre dos au drapeau et d'y envoyer quand même la balle !!
"N'oublie jamais ça. Un club, une balle, un objectif. Tout faire pour amener la tête de club dans la direction de l'objectif. Le reste est supeflu."
En ce début d'octobre 2002 je suis 32 et je ne compte pas m'arrêter là, mais j'aime bien reprendre des articles de base sur des choses que j'ai tendance à oublier ou qui expliquent le pourquoi et le comment. En bref, mon petit parcours m'indique qu'un pro enthousiaste et pédagogue est irremplaçable mais qu'il peut être complété par des rudiments théoriques développés dans des bouquins et magazines ne serait-ce que pour comprendre; surtout quand on est livré un beau jour de compétition à soi-même avec un slice dévastateur ou confronté à un vent soufflant en rafales ou à un putting fébrile. Quel beau sport en tout cas alliant technique, mental et abnégation !!

Harmonie naturelle


Loin de la technique, le golf est une occasion de redécouvrir la nature, des coins privilégiés au milieu d'arbres centenaires, de pinèdes enbaumées, des fairways luxuriants, le long de plans d'eau paisibles; c'est une véritable communion qui s'instaure, une oasis de quiétude seulement troublée par les chants d'oiseaux et le bruit des balles. Le golf apprend à respecter Dame Nature et ses bienfaits.Posted by Hello

Harmonie naturelle


Loin de la technique, le golf est une occasion de redécouvrir la nature, des coins privilégiés au milieu d'arbres centenaires, de pinèdes enbaumées, des fairways luxuriants, le long de plans d'eau paisibles; c'est une véritable communion qui s'instaure, une oasis de quiétude seulement troublée par les chants d'oiseaux et le bruit des balles. Le golf apprend à respecter Dame Nature et ses bienfaits.Posted by Hello

vendredi 20 septembre 2002


Jouer au golf, c'est prendre une petite balle blanche chargée de tous nos espoirs, la placer sur une petite rampe de lancement communèment appelée "tee" et l'envoyer si possible sur un tapis vert, moelleux et accueillant dénommée "fairway";en essayant d'éviter les embûches du parcours tels les obstacles d'eau en tout genre, comme les étangs, les ruisseaux, mais aussi les étendues inhospitalières pour les poignets et gourmandes en temps perdu appelées "roughs"; en essayant de contourner les arbres par le dessus ou le dessous, les ravins et parfois les longues traînées de sable fin appelées "bunkers" qui peuvent certes rappeler de doux moments estivaux mais qui peuvent devenir un vrai cauchemar si on les déteste.
Jouer au golf c'est tenter d'atteindre un but enfoui au plus profond de soi, un destin à prendre en main, des péripéties intérieures à surmonter. C'est une aventure de 4 heures et plus parfois qui vous emmène au plus profond de ses émotions; c'est une tragédie comique qui se joue en 18 actes. Jouer au golf, c'est éventuellement atteindre une cible signalée par un drapeau fièrement planté sur une moquette verte d'où son nom - le "green" - en un nombre de coups minimum mais cela n'est à mon avis qu'accessoire.(Photo : Josh Fassbind)

Jouer au golf, c'est prendre une petite balle blanche chargée de tous nos espoirs, la placer sur une petite rampe de lancement communèment appelée "tee" et l'envoyer si possible sur un tapis vert, moelleux et accueillant dénommée "fairway";en essayant d'éviter les embûches du parcours tels les obstacles d'eau en tout genre, comme les étangs, les ruisseaux, mais aussi les étendues inhospitalières pour les poignets et gourmandes en temps perdu appelées "roughs"; en essayant de contourner les arbres par le dessus ou le dessous, les ravins et parfois les longues traînées de sable fin appelées "bunkers" qui peuvent certes rappeler de doux moments estivaux mais qui peuvent devenir un vrai cauchemar si on les déteste.
Jouer au golf c'est tenter d'atteindre un but enfoui au plus profond de soi, un destin à prendre en main, des péripéties intérieures à surmonter. C'est une aventure de 4 heures et plus parfois qui vous emmène au plus profond de ses émotions; c'est une tragédie comique qui se joue en 18 actes. Jouer au golf, c'est éventuellement atteindre une cible signalée par un drapeau fièrement planté sur une moquette verte d'où son nom - le "green" - en un nombre de coups minimum mais cela n'est à mon avis qu'accessoire.(Photo : Josh Fassbind)

mardi 10 septembre 2002

Travailler le swing pour être plus régulier

Un swing dure quelques dixièmes de seconde; débutant, amateur ou pro, c'est toujours le fruit de longues heures d'entraînement, un travail de réflexion au practice, à la vidéo, avec des bouquins, des magazines, avec un pro évidemment. Envoyer une balle, c'est un résultat espéré, un objectif à atteindre; la perfection n'existe pas ou si rarement, sur un seul coup. On croit avoir saisi l'essence du golf, mais hélas, le coup d'après n'est plus le même. L'indicible plaisir ne se répète pas souvent. C'est cela la magie du golf, on y va souvent pour trouver quelque chose d'éphémère. (Photo : Alexis Orloff)Posted by Hello